1. Dialogues Interdits - Fantasme du cadeau (1)


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Erotique,

    ... ou plus en détails. Il m’a demandé « je peux vraiment ? », j’ai répondu que oui. Je pensais que ça allait enfin démarrer. Tu parles ! Il m’a dit de m’allonger sur le matelas, et m’a indiqué des postures à prendre juste pour me reluquer le clitoris, l’anus et la vulve. Ce petit con était enchanté comme tout, plus candide tu meurs, pendant que je me payais la honte de ma vie. Dis, si tu continues à rire j’arrête de raconter. — Je suis désolée. Aussi t’as qu’à pas raconter d’anecdotes aussi poilantes. Si t’avais honte, pourquoi tu continuais ? — … Parce que j’espérais à chaque instant qu’il prendrait les devants, maline ! Puis ses yeux pétillaient tellement, je ne voulais pas être cruelle. — Et ça ne t’est pas venu à l’esprit de te jeter sur lui et de l’embrasser, puis de lui faire poser les mains sur ton corps ? — C’était à lui de le faire ! À lui ! — Seigneur… — Je m’étais jurée de ne m’imposer que par des mots. En désespoir de cause, je lui ai dit « fais ce que tu veux. Fais-moi tout ce dont tu as envie, tout ce qui te fait rêver ». Eh bien, décidément rien à faire. — Qu’est-ce qu’il voulait ? — Pfff… jouer à la poupée. — Avec toi ? — Que je SOIS sa poupée. — Pas mal, non ? — L’image est belle. L’image seulement ! Parce que lui, il voulait que je sois sa poupée au sens littéral du terme. Au sens… parfaitement enfantin du terme. Il ne voulait pas d’une poupée gonflable, il voulait juste faire ce que font les petites filles avec leurs poupées. Il a passé une heure à me ...
    ... déshabiller, me rhabiller, me re-déshabiller, me re-rhabiller et ainsi de suite. Il a dû me changer de fringues… je ne sais pas, peut-être une bonne quinzaine de fois. Je ne devais rien faire, ne pas bouger, ne pas l’aider ni ouvrir la bouche. Exactement comme une poupée inerte. — Des jeux dominant-dominée, j’en ai vus. Des comme celui-là, jamais. Il l’a joué brutal ? — Au contraire, très délicat et méticuleux. À la limite du chirurgical. — J’aurais adoré. tgnnim — La vie est mal faite. Quel dommage qu’il ait pas eu l’occasion de te le faire à toi ! Parce que moi je me suis emmerdée à un niveau, tu peux pas savoir. — Pourquoi t’as laissé faire ? T’avais encore de l’espoir ? — Oh non ! À ce stade-là, plus aucun. J’ai laissé faire… je sais pas, j’ai laissé faire c’est tout. C’était tellement absurde que j’ai joué le jeu jusqu’au bout. — Qu’est-ce que ça a de si déplaisant ? — De rester inerte en se faisant manipuler comme un jouet à la con ? Comme si on n’était pas une personne mais un objet ? Je te retourne la question : qu’est-ce que ça a de plaisant ? — Heu, j’en sais rien. C’est vrai ça. Le principe me plaît beaucoup et je saurais même pas te dire pourquoi. — Parce que tu aimes être dominée. — Non, parce que j’aime bien qu’on s’occupe de moi. Qu’on soit aux petits soins. — Ta maman te l’a pas assez fait quand t’étais gamine. — Pourtant je crois que si. Je crois même qu’elle avait aussi tendance à « jouer à la poupée » en m’habillant sans arrêt. L’ambiguïté sexuelle en moins, bien ...