Soirée en tête à tête avec Alban - Histoires de Sexe

Soirée en tête à tête avec Alban

... Tu aimes cela te branler l’anus sur commande, n’est-ce pas ?— Oui, Alban, j’aime.— Est-ce que tu bandes mon petit PD blanc ?— Oui, Je bande fort.— Je t’interdis de te branler et de te faire jouir. Je te dirai quand tu as le droit. Je te verrai demain après-midi. Nous irons à la plage puis nous dînerons chez moi. En attendant, ce soir je veux que tu te branles le cul sur ta terrasse avec un gode, si tu n’en as pas prends un concombre, si tu n’en as pas va en acheter un, pas trop gros que j’aie le plaisir d’élargir ton cul de femelle à Black. As-tu compris ?— Oui Alban, je ferai ce que tu m’as dit.— J’y compte bien. À demain. Le ton d’Alban a été inhabituellement autoritaire et rien ne me pousse à ne pas lui obéir, j’ai trop envie de lui. Oups ! Je n’ai ni gode, ni concombre ; je m’habille en vitesse et cours trouver un magasin ouvert. À cette heure ce n’est pas gagné. Je trouve un épicier malien ouvert tard dans la nuit. Je demande un concombre au type debout derrière le comptoir, droit comme un « i » dans son boubou bleu ciel. — Vous le préférez comment votre concombre, gros et long ? me demande-t-il.— D’une taille normale, s’il vous plaît. Je suis seul.— Seul, on peut aussi prendre du gros calibre, me fait le malin Malien en me regardant droit dans les yeux et en passant sa langue sur ses lèvres. Il ne faut pas tout avaler d’un seul coup, à moins que vous soyez très gourmand, rajoute-t-il en me tendant le concombre. Le gros calibre, c’est celui d’Alban et ce soir je ne dois ...

... pas trop m’élargir la rondelle. Je rentre à la case sentant le regard perçant de l’épicier sur mes fesses. La soirée s’avance, après un rapide repas et une douche soignée où je me suis épilé entièrement en prenant soin de bien raser autour de mon anus et le long de la raie pour le contact soit doux, je m’installe avec la cucurbitacée gainée d’un préservatif sur ma terrasse décidé à me faire du bien, suivant le désir d’Alban. Je ne suis pas seul à l’extérieur, ce soir mes voisins Murielle et Marc reçoivent, car il y a du monde sur la terrasse. Je les vois à travers la haie clairsemée. Je les entends bien, car ils sont assez près, ils se racontent des histoires salaces et les filles ne sont pas en reste. Au fur et à mesure de la conversation, qui retient de plus en plus mon attention, je comprends que les deux couples sont bi et qu’ils se sont déjà rencontrés ailleurs qu’autour d’une table. — Mon chéri, tu te souviens l’hôtel à Tanger ? Tu sais, le serveur du restaurant, fait Murielle.— Oui, je me souviens, tu avais laissé ton string comme pourboire au serveur.— Ce que tu ne sais pas, c’est que j’avais écrit notre numéro de chambre sur l’étiquette du string.— Ah je comprends maintenant ! fait Marc. Le lendemain matin juste après la douche, on tape à notre porte. Je vais ouvrir et je trouve là notre serveur avec un plateau petit-déjeuner sur lequel est posé bien en évidence le string de Murielle, explique-t-il à leurs amis. « C’est une bonne surprise de me ramener ma culotte », ...