1. Un bel anniversaire (1)


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... compte, le soir quand tu vas te coucher, tu bandes, je suis sûre que tu te finis dans ta chambre en pensant à moi. Ose dire que tu ne veux pas me voir à poil. Henri devient blême, il baisse les yeux. Je suis sûre qu’il a envie de quitter la pièce mais qu’il n’ose pas de peur que je fasse une remarque sur la bosse de son short. Je me lève. –Je prends ton silence pour un oui. Henri redresse la tête juste au moment où je fais passer mon marcel par-dessus ma tête. Je place mes mains sous les seins et les soupèse. J’ai l’impression que ses yeux vont lui sortir des orbites. Je le regarde droit dans les yeux. –Ça te plait, tu en veux plus. Il ne répond pas, figé par ce qu’il voit. –Je prends ton silence pour un oui. Je fais glisser ma jupe à terre, maintenant je suis complètement nue devant lui. Je fais lentement un tour complet sur moi-même pour lui présenter mes fesses. Je discerne un léger mouvement dans son short. Il bande à mort. Moi aussi, le fait de ma donner en spectacle me fait mouiller un maximum, j’ai peur qu’il voit que mes cuisses se mouillent. Son regard ne quitte pas mon pubis. –Ça te plait ce que tu vois ? Il me regarde dans les yeux, je vois dans son regard plus de panique qu’autre chose. –Détends toi Henri, ce n’est pas grave, je suis seulement la première femme que tu vois nue. Moi aussi, j’aimerais bien voir pour la première fois un homme nu. Qu’en penses-tu ? Là, il panique, son visage se décompose. yvqykktl –Non, je ne crois pas que je pourrais. –Dis donc ...
    ... petit salaud, ce n’est pas toi qui es venu me prendre dans ses bras dans la cuisine et me serrer contre toi pour que je sente l’effet que je te fais ? –C’était juste une marque d’affection. Encore une fois, le ton monte. –Tu ne me prendrais pas pour une conne par hasard ? Moi je pensais plutôt à une marque d’envie. J’ai eu l’impression que ton sexe voulait perforer ma jupe pour me sodomiser. –Sylvie, ne t’énerves pas, oui, tu as raison, depuis quelque temps, je ne pense plus à toi comme avant, comme une sœur, mais plutôt comme une femme attirante et qui me plait. Il faut dire que tu as tout fait pour ça. Je suis aux anges, mon stratagème a fonctionné au moins pour Henri, je vais pouvoir passer tout de suite à l’étape suivante. –Ok, calme toi, lèves toi et viens vers moi. –Sylvie. –Lèves toi Henri, tu n’as pas le choix, je sais très bien que tu bande dans ton short, et depuis le temps que ça dure, ça va devenir pénible, il faut que tu te détendes. Il finit par se lever, son short le précède de quelques centimètres. Quand il est devant moi à portée de main, il s’immobilise. Je fais un pas, lui prend le bas du tee-shirt et le fait passer par-dessus sa tête. Il se laisse faire comme un petit garçon. Je m’agenouille, attrape le bas des manches de son short et le fait glisser sur ses jambes. Il reste bloqué par sa bite qui s’est coincée sous l’élastique. Je tire plus fort vers le bas, et tout à coup, une superbe bite se redresse violement devant moi pour pointer vers le ciel. Je fais ...
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