Je ne suis pas celui que tu crois
Datte: 22/08/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Dis-moi, gros vicieux, ça fait un quart d’heure que je te lèche la rondelle et t’as pas lâché ton portable. Tu diales avec ta meuf ou quoi ? Ton trou de balle est trempé et j’ai tes poils de cul coincés entre les dents. Je te dérange pas, j’espère ? J’en ai marre d’avoir tes grosses couilles qui me chatouillent le front. Je voudrais bien tâter de ta queue qui bat la mesure toute seule depuis tout à l’heure. Tu bandes comme un turc, faux pédé ! Ça t’excite de faire comme si j’étais pas là ? Tu verrais mon trou à moi, il s’est ouvert tout seul tellement je suis en chaleur. Tu pourrais rentrer deux bites dedans sans forcer. Allez, lâche ton phone et vient me dérouiller le ventre. Ou alors, laisse-moi au moins bouffer ta queue mieux que ta femme. Je chope des crampes, à quatre pattes sur ta moquette pendant que monsieur règle ses affaires, les jambes en l’air sur son canapé. Ah, c’est pas comme hier soir quand on s ‘est rencontré, tu te rappelles ? Je me revois, tout timide de mettre fait lever comme une pucelle par un beau gosse qui me ramène chez lui. Quand je repense à tout ce que j’ai dit, tu dois bien te foutre de ma gueule ! C’était cette nuit, vers quatre heures, on rentrait de broîte, tu te rappelles mon discours ?« Avant qu’on aille plus loin, je voulais te dire que je suis pas un homme facile. Si j’ai accepté ton invitation chez toi, c’est pour qu’on puisse faire mieux connaissance avant de faire l’amour. Je t’ai laissé me rouler une pelle dans l’ascenseur parce que ...
... j’en avais envie, c’est vrai. Et c’était très bien, d’ailleurs. Ta langue qui fouillait ma bouche tandis que tu me pelotais les fesses m’ont fait de l’effet mais je veux pas sauter les étapes. Ton odeur de clope et ta salive alcoolisée m’ont fait perdre la tête. Du coup, j’ai osé te mettre la main au paquet pour te montrer que je suis pas non plus un puceau effarouché. J’ai constaté au passage que tu avais une sacrée érection mais je ne me contente pas que de ça dans une relation entre hommes. J’ai besoin de tendresse et que mon futur mec me traite comme une princesse…Je suis bien, là, assis à côté de toi, sur ton canapé, à siroter une petite bière. Je suis content que tu ne te jettes pas sur moi comme une bête. Les autres mecs, dès qu’ils voient mon petit cul de quadra dans mon short en jean, ne pensent qu’à me sauter. Tu sais, je suis pas aveugle, je vois toujours que ton sexe se débat dans ton pantalon mais je ne suis pas encore prêt. Samedi dernier, par exemple, je me suis encore fait violer par deux lascars en goguette. Ils étaient rentrés bredouille de broîte et ils sont tombés sur moi au moment où je rentrais à pied en pleine nuit. Ils ont dit que je les avais allumé à me balader avec mon short rentré dans le cul. Quels malpolis, ceux-là ! Ils m’ont allongé deux mandales et ils m’ont violé à tour de rôle, tu te rends compte ! Un dans ma bouche, l’autre dans mon derrière ! Quel honte ! Ils m’ont laissé par terre, souillé de sperme et se sont barrés comme des voleurs. Quand ...