-
Sans dessous
Datte: 29/07/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fête, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fsodo,
... Christine devant un miroir qui s’attache les cheveux. Puis elle retire son débardeur et son bermuda pour enfiler un maillot de bain. Je sors du chalet en essayant de faire le moins de bruit possible et vais rejoindre quelques invités. Ceux-ci parlent football mais, même si j’aime ce sport, je ne les entends pas. Je repense à la scène à laquelle je viens d’assister d’autant que Christine est maintenant sortie à son tour pour se faire bronzer. Lorsqu’elle a ôté ses vêtements elle ne portait aucun dessous. Ni slip, ni soutien-gorge. Je l’ai donc furtivement vu entièrement nue. J’ai toujours pensé qu’elle avait de jolis seins et je n’ai pas été déçu. Je les ai devinés fermes, bien ronds et j’imagine agréables à toucher. Bien entendu de ma position je n’ai pas pu contempler les divers détails de son anatomie, mais j’en ai vu suffisamment pour être excité. Durant tout le reste de la journée je reste obsédé par le corps de Christine. Je me dit que j’aurais dû oser entrer dans la chambre, « par hasard », pour la surprendre nue. Mais c’était risqué. Certes, Fanny m’a toujours dit que Christine lui en avait voulu de sortir avec moi, car elle me trouvait tout à fait à son goût. Mais c’était il y a 4 ans. Depuis elle avait rencontré Stéphane avec qui tout semblait bien se passer. La nuit ne me calme pas vraiment et, lorsque je fais l’amour à Fanny, c’est le corps de Christine que j’imagine dans mes bras. Trois semaines sont passées depuis l’anniversaire. Je suis dans mon appartement et ...
... j’attends Christine. La veille j’ai emmené Fanny aux urgences. C’est une appendicite. Elle a été immédiatement opérée et doit rester 3 jours en observation à l’hôpital. Christine a décidé de lui rendre visite et je lui ai donné rendez-vous chez moi pour qu’on y aille ensemble. Lorsqu’elle arrive je suis immédiatement troublé. Elle porte une jupe légère dans les tons de beige, un chemisier assorti et les mêmes chaussures en toile blanche que la dernière fois. Nous restons à l’hôpital de 15h à 18h. Je raccompagne Christine jusqu’au bas de mon immeuble pour qu’elle puisse récupérer sa voiture. Un désir m’envahit. Il ne faut pas que je la laisse partir. Je n’ai rien d’original à lui proposer : « Tu as le temps de monter boire un verre ? » À peine ai-je posé la question que je me sens ridicule. La plus vieille phrase de drague du monde ! Et en plus c’est la meilleure amie de ma fiancée ! La réponse est immédiate… : « Ok ». Nous discutons de tout et de rien mais pas de Fanny, notre « point commun ». Nous l’oublions. La conversation se fixe sur son anniversaire. — C’était sympa… il a fait beau… à refaire…— Tiens tu avais les mêmes chaussures ce jour-là. Elle me regarde en souriant : — Tu te rappelles comment j’étais fringuée ?— Bermuda, débardeur, comme toutes les filles.— Oui… et après maillot de bain, ajoute-t-elle. Un ange passe. Mon trouble grandit. C’est elle qui continue : — D’ailleurs tu aurais pu m’aider à le mettre ce maillot de bain… Je reste bouche bée. — Je t’ai aperçu ...