1. Une divine surprise suite - 4


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Première fois

    Mercredi 10 août 1960 – Je passe au magasin Comme convenu avec Evelyne, je me pointais au magasin vers 15,30h, espérant que le patron serait présent. En entrant je rencontrais Odile qui me confirma que le patron était dans son bureau et que je pouvais y aller. Il était content de me voire car le samedi, il devait y avoir une grosse livraison et si je pouvais aider les filles, … tout fut réglé en 5 minutes. En sortant du bureau, je demandais à Odile si Evelyne travaillait et comme je ne la voyais pas de la saluer de ma part. A ce moment, dans l’arrière boutique Evelyne apparut sur le monte charge et dit : « Odile il faut que tu viennes me donner un coup de main, … mais Jean est là, … peux tu venir en bas j’ai des colis à remuer, si tu pouvais m’aider » (Il faut préciser que le dit monte charge était composé d‘un rail le long du mur qui montait et descendait une plateforme d’environ 1,50 m par 1,00m. A l’arrêt cette plateforme était le plancher de l’arrière boutique. La plateforme bouchait un trou qui donnait accès au sous-sol, en descendant) « D’accord, mais c’est de l’exploitation du pauvre étudiant par les vendeuses » et je rejoignis Evelyne au sous-sol. Evelyne : « J’ai cru que tu ne viendrais pas » Elle se colla à moi et on s’embrassa, un gros baiser baveux où nos langues se cherchaient, se caressaient. Se décollant et mettant un doigt sur la bouche : « Viens on n’a pas beaucoup de temps et j’ai une surprise pour toi » Et elle m’entraina vers le fond du magasin qui ...
    ... avait déjà été le théâtre de nos exploits. Là appuyant son joli cul contre la table elle ouvrit son corsage, ce qui mit en évidence ses seins, mais la surprise était là. C’était un soutien gorge quart de bonnet, qui laissait libre accès à ses jolis nénés qui pointaient fièrement, les mamelons ne demandant qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés. Ce que dit Evelyne dit : « Ils sont à toi, profites en, fais toi plaisir, fais moi plaisir » Alors que très occupé par ces deux belles rotondités, je n’ai pas remarqué qu’Evelyne se tortillait un peu. Et là, était la deuxième surprise. Alors que mes mains et ma bouche s’occupaient avec ardeur de ses seins, elle me prit la main droite et l’amena à son entre jambe, en fait sur son minou qui était à découvert, elle ne portait rien, ce qui augmenta mon excitation. Avec sa main elle me guida vers sa chatte et ses doigts poussant les miens, je la pénétrais et commençais à la masturber avec une douce vigueur. Elle me facilita la tâche en écartant largement les cuisses et surtout en avançant son bassin vers ma main. Ce petit jeu dura peu, car elle me repoussa et s’appuyant sur la table, les jambes bien écartées, son joli cul en arrière : « Viens, .., j’aime tes doigts, mais je préfère ton sexe, … prends moi, …, je veux te sentir me baiser, …, oui baises moi fort, …, éclates moi la chatte, …, OUIIIIiiiii, …. Accélères, …, je sens que ça viens, …. OUIIIIIiii, ….» Je faisais tout ce que je pouvais, la pénétrant avec force et au plus profond ...
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