1. Jef fait du stop (2)


    Datte: 23/08/2018, Catégories: Erotique,

    ... faisait une sorte de bilan de son état physique. Ses jambes, ça avait l’air l’aller. Ses bras aussi bien que celui de droite, coincé sous lui, lui semblait couvert de fourmis. Il avait le dos endolori, raide, sensible, mais ce qui lui faisait vraiment mal, c’était son cul. Il avait l’impression de s’être assis sur des braises. Pire encore ! Son trou de balle lui paraissait en feu. Mais pas seulement. La brûlure semblait venir de plus profond, comme si un tisonnier chauffé à blanc faisait la navette dans ses tripes. Pour finir, sa bite n’était pas plus reluisante. Elles avaient fait fort les trois garces ! Il en avait pour des semaines avant de pouvoir pisser dans faire la grimace. Il sentait son gland comme passé au papier de verre et ses couilles rendues à l’état de pâte à modeler ! Se lever ! Pas si simple ! En tout cas, pas tout de suite, il ne s’en sentait pas capable ! C’est Alice qui, un quart d’heure plus tard, est venue le chercher. Cela lui faisait tout drôle de se retrouver autour d’une table avec ces deux nanas dont il connaissait mieux le cul que le visage. En tout cas, elles étaient super-sympa et le jeune homme ne tarda pas à faire abstraction des sévices nombreux et variés qu’elles s’étaient amusées à lui faire subir. La conversation s’orienta sur toute autre chose. La nuit avançait à grands pas, mais les quatre jeunes n’en avaient cure. Les filles entreprirent de lui raconter avec force détails tout ce qui avait pu se passer dans cette chambre. Jef se dit ...
    ... qu’il était vraiment un gamin au regard de ce que ces trois-là avaient déjà fait en matière de sexe ! La pire, c’était Odile et sa soif de foutre ! Son meilleur souvenir, raconta-t-elle (pour la énième fois pour ses copines, mais la première pour Jef), c’était la fois où elle avait été invitée par des potes infirmiers à l’hôpital de Nevers. Pour une autre fille, cela aurait été son pire cauchemar, mais pour Odile, ce fut le plus beau jour de sa vie. Trente-quatre types, âgés entre vingt et vingt-cinq ans, pour elle toute seule ! Une tournante complètement surréaliste qui aurait dû la traumatiser à vie. L’invitation était un véritable traquenard, mais pour Odile, c’était le pied, le grand pied ! La séance a duré toute la nuit et une bonne partie de la matinée. Pas un des gars n’a pas, au minimum, baisé ou enculé la jeune fille, alors âgée de dix-neuf ans, trois ou quatre fois chacun, s’y mettant souvent à deux tandis qu’un troisième lui donnait sa bite à sucer. Elle aurait dû être dégoûtée du sperme à vie. Au contraire, c’est ce jour-là qu’elle y a pris goût au point de ne plus pouvoir s’en passer plus de quarante-huit heures ! Jef fit machinalement le calcul dans sa tête. Trente-quatre multiplié, par… disons quatre, ça fait 136. 136 éjaculation dont une bonne moitié, supposa-t-il, qu’elle aura gobé, soit environ 70. Si je compte, continua-t-il mentalement, entre deux et trois centilitres de sperme à chaque éjaculation, ça fait entre un litre et demi et deux litres de foutre ! À ...
«12...678...12»