Après un vigile, son coach de gym - Histoires de Sexe

Après un vigile, son coach de gym

... érection immédiatement grâce aux caresses buccales dont elle était experte. Elle aspira son gland, joua avec la hampe, mordilla et fit rouler ses couilles dans sa bouche. Lui fermait les yeux et appréciait. Elle me demanda de leur laisser le canapé, il s’assit, elle posa un pied sur son épaule et approcha en rythme son minou vers sa bouche, jusqu’à s’y arrêter et se laisser lécher. Il s’étendit sur le canapé, elle le chevaucha, le prit par le cou en l’embrassant, écarta ses jambes et guida son chibre vers son minou, elle s’empala doucement, yeux fermés. C’était elle qui le baisait, je voyais son minou dilaté par le pénis luisant de cyprine. Ils n’avaient pas mis de capote, elle gémit, lui parla à l’oreille : — C’est bon, tu es gros, j’aime ta bite, j’en rêve depuis longtemps. Elle se retira, se mit à quatre pattes : — Baise-moi comme une chienne ! Il prit l’initiative, la pénétra et la lima d’abord doucement pour qu’elle s’habitue à la taille hors norme de sa bite, puis il accéléra, les gémissements se transformèrent en cris. Pour la première fois depuis un an, elle dit des insanités : — Je suis ta chienne, ta salope, tringle-moi, enfonce tout, tu baises comme un Dieu… Ils changèrent plusieurs fois de position. Moi, je bandais comme jamais, j’avais envie de participer mais j’avais peur de le bloquer. La baise dura presque trente minutes, il triturait sa poitrine, enfonçait un doigt dans son petit trou, elle délirait, elle prenait son pied comme jamais jusqu’à l’orgasme, ...

... long, profond, bruyant se terminant par des tremblements. Il se retira et lui dit : — À moi de jouir ! Il lui réclama une pipe et éjacula dans sa bouche, une sécrétion abondante qu’elle s’empressa d’avaler. Ils étaient sur le canapé, nus, s’embrassant tendrement, se disant des mots doux. Elle me prit à témoin : — Il m’a fait jouir avec sa bite, sans me toucher le clitoris, comme Basile. D’ailleurs, il me l’a fait oublier. Tu as aimé ?— Heu, oui, très bien, je bande encore.— Cache-la. Pas de comparaison, chéri ! Mais je l’aime bien aussi. Lui : — Tu veux bien nous laisser seuls cette fois ? Je te raconterai.— OK, je monte. Ils ont recommencé à baiser, sans moi, je ne pouvais qu’entendre, je me suis masturbé deux fois, heureux que Nora retrouve sa libido. Il était endurant, savait être doux et limait doucement, en retenant son plaisir, puis donnait des grands coups qu’on entendait claquer, jusqu’à un nouvel orgasme mutuel. Nous avons dormi à trois dans le même lit, et au matin, nous avons pris le petit déjeuner ensemble, préparé par moi avec croissants, jus d’orange, etc. Je les ai laissés flirter, elle m’a demandé l’autorisation de le revoir. — D’accord, mais je ne veux pas disparaître de ta vie sexuelle. Il devra partager lui aussi. Ainsi, nous avons passé un deal, elle était à lui, quand ils voulaient, où ils voulaient, je leur demandais simplement une baise par semaine pour moi. Et pendant que Nora était sous la douche, je lui rappelai notre accord, je voulais tout savoir, en ...