1. Mandy


    Datte: 23/08/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... moi, par que c’était tout, sauf doux. Rapidement, elle les ressort, me repousse vers le lavabo, face à la glace, se colle derrière moi, elle glisse ses doigts dans ma bouche, les uns après les autre et me les fait lécher (je confirme, il y en avait trois). Elle colle son visage près de mon oreille et me glisse « tu es une grande mouilleuse toi ». Ça sera les seule paroles qu’elle prononcera. Elle me repousse avec un sourire narquois et s’en va en me plantant là. Il me fallut au moins trente seconde pour réagir après son départ. Je ramasse ma robe sur le sol, m’enferme à nouveau dans la cabine pour me rhabiller, ressort me recoiffe, prend de l’eau dans la bouche au robinet, me gargarise, retouche mon maquillage et je sors des WC pour rejoindre la salle de réception, surement toute rouge, ayant honte de moi, un peu énervée aussi du traitement que je venais de subir. Cette fille, j’aurais dû la … Finalement c’était une situation excitante, mais quelle conne quand même, elle se prend pour qui ? Cette grande pétasse !!!! Je reviens dans la salle de réception, bien décidée à aller la voir pour lui balancer une réflexion bien sentie, mon regard fait le tour. Mandy a disparu. Bon, j’en ai ma claque, je me casse de là. Je repère Georges, le prévient que je rentre, il insiste pour que je reste chez moi le lundi, je lui dis qu’on verra …. Je récupère mon manteau et mon sac à main au vestiaire, salut le pingouin toujours à son poste et sort pour rejoindre ma voiture sur le parking peu ...
    ... éclairé à cette heure de la soirée. Je la repère et commence à chercher mes clés de voiture dans mon sac à main. Impossible de remettre la main dessus. Je fouille le sac (bon d‘accord, ce n’est pas un sac à main, c’est une valise, mais quand même), rien, je refouille, je vide les poches de mon manteau, rien. Je m’apprête à faire demi-tour, pour retourner au vestiaire au cas où elle serait tombée d’une poche quand la portière côté conducteur s’ouvre. Ça a pour effet d’allumer la veilleuse de la voiture. Une forme humaine est sur le siège passager. Apeurée, je m’approche tout de même ne sachant pas à quoi m’attendre. Je reconnais … Mandy assise sur le siège. Elle me tend mes clés de voiture et me dit, toujours aussi froidement, « tu montes et tu conduis ». Comme tout à l’heure dans les WC, je suis comme pétrifiée, et j’obéis sans plus discuter à cette voix qui m’hypnotise littéralement. L’énervement et le sentiment de révolte qui m’animaient encore cinq minutes avant se sont envolés. De quelques ordres brefs, elle m’indique le chemin à suivre. Nous quittons l’agglomération puis la route principale, pour nous engager sur des routes secondaires. Bientôt nous traversons une forêt et nous retrouvons en pleine campagne. Après une demi-heure de route, je n’avais pas eu doit à un mot de Mandy, hormis aux intersections, quelques « à gauche » ou « tout droit ». Après avoir traversé un village silencieux et désert à cette heure tardive, nous arrivons devant la grille d’un hôtel apparemment ...
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