1. L'histoire de mon couple (2e partie)


    Datte: 24/08/2018, Catégories: Anal Inceste / Tabou

    ... me rétorqua ma femme.Elle me colla l’éponge dans les mains en me signifiant qu’il fallait recommencer, attrapa son amant par la main et lui dit :— Viens, j’ai envie que tu me prennes sous la douche.Un quart d’heure plus tard, la voiture était propre. Ma femme et son amant aussi. Quand je pénétrai à nouveau dans la maison, ils m’attendaient dans le salon. Jade me fit un geste pour m’indiquer que je devais m’allonger sur ses genoux. Elle prit soin d’enlever ma ceinture et de baisser mon pantalon au préalable.— Tu as vu comment il devient obéissant avec son dressage ? Plus aucune protestation.— Effectivement, c’est impressionnant ! répondit son amant, amusé.— Je t’avais dit que si la voiture n’était pas propre, je te corrigerais moi-même, me lança-t-elle.Sur ces mots, elle m’administra une fessée retentissante. Oh, la douleur était à peu près supportable, mais le bruit des claques, et surtout le regard de son amant me pétrifièrent. Quand elle eut fini, elle m’envoya au coin du salon, le pantalon toujours baissé, les fesses rouges, avec interdiction de me retourner. J’avoue que je ne me rappelle pas vraiment de la suite de l’après-midi ; la honte était telle que ma mémoire préféra oublier leurs ébats.Ce sentiment dura jusqu’au retour à la maison. Curieusement, la vie reprit son cours tout de suite et cet épisode s’effaça dans la soirée. J’eus même le droit de la lécher et elle me mit un doigt ce soir-là. Mais quinze jours plus tard elle m’annonça qu’elle partait pour un week-end ...
    ... de trois jours avec lui au bord de la mer. Je fis des pieds et des mains pour venir, lui disant que je serais à leur service, que je ferais tout ce qu’ils me demanderaient. Je ne voulais pas qu’elle me laisse seul. Bizarrement, quand elle allait chez lui, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mais le fait de les savoir en vacances et moi seul à la maison m’était insupportable. Finalement, après nous être entretenus avec lui, ils acceptèrent. Mais sous certaines conditions, qu’elle m’énonça :— Comme tu me l’as dit, tu seras à notre service, donc tu nous obéiras :> Je dormirai avec Nicolas dans la chambre ; toi, tu auras le canapé ou la deuxième chambre, s’il y en a une.> Tu devras avoir le regard baissé en notre présence. Donc interdiction de nous regarder dans les yeux.> Nous voulons le petit déjeuner servi au lit samedi et dimanche matin, avec jus d’orange pressé, café et croissant.> Je t’interdis de te tripoter ou de sortir ta queue en notre présence, sauf si on te le demande.> Tu as interdiction de jouir pendant tout le week-end.> C’est Nicolas qui paiera pour la location, et toi qui paieras pour les sorties.> Nous partons avec ta voiture, et c’est toi qui conduiras.Cela me paraissait juste. Il n’y avait que l’interdiction de jouir qui me dérangeait ; mais comment le sauraient-ils, puisque je ne portais pas de cage de chasteté ? Je demandai à mon tour s’ils pouvaient laisser leur porte entrebâillée la nuit si jamais je voulais venir les regarder s’ils baisaient. Elle éclata ...
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