1. De ma Nuit vers la Lumière


    Datte: 29/07/2017, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, fsoumisah,

    La soirée avait si bien commencé. Nous avions regardé la télé ensemble, allongés sur le canapé… Moi sur son torse et lui caressant mes seins pointant sous la nuisette, me donnant des frissons d’envie et de désir. Nous avons ri devant les incongruités de ce film de cape et d’épée et plaisanté en totale connivence devant les dialogues proches du néant. J’aimais cette atmosphère. Nous avons parlé de nos vies, de nos soucis. Puis il a dit : — Je suis fatigué, tu viens au lit ? Désolé, je suis crevé…— D’accord, je viens, je comprends. Il me fit un baiser et se leva, l’air fatigué. Je lui rendis un sourire et me levai à mon tour, rangeant le salon et éteignant les lumières, circulant pieds nus en petite tenue, sans qu’il paraisse émoustillé le moins du monde. Je me trouvais compréhensive d’accepter de terminer la soirée ainsi. Il m’avait donné envie avec ses caresses et il le savait. J’avais ondulé des hanches pendant que ses doigts titillaient mes seins et poussé les soupirs qu’il connaissait bien… Il s’est préparé avant moi, puis a disparu dans notre chambre à coucher, pendant que je suspendais la lessive, en bonne ménagère appliquée. Je me suis préparée ensuite, coiffée, lavé les dents, et je l’ai rejoint pour dormir. Je m’allongeai à son côté pour un sommeil réparateur ; il me regarda d’un air altier, celui du mâle dominant, que je reconnus à l’expression impérieuse. Froid, il me dit : — Occupe-toi de moi maintenant !— Ah non ! Je n’en n’ai pas envie. Il m’attrapa par les ...
    ... cheveux et dirigea mon visage vers son sexe. — Suce, et vite, satisfais ton Maître. Je me débattis en riant, encore dans l’ambiance de notre soirée, ne parvenant pas à le prendre au sérieux. Il maintint sa poigne sur ma tête et répéta son ordre. Je me défendis pour jouer ; ce n’était pas la première fois que nous avions des jeux de soumission ; et, en général, j’aimais beaucoup ; mais là, je n’avais pas la tête à ça. Nous luttâmes. Je riais avec exubérance. La situation était excitante mais je ne le croyais pas sérieux. Il me coinça sous lui et me donna des fessées de plus en plus fortes, jusqu’à ce que je cède, je criai : — Oui, oui, je le ferai… Lâche-moi ! Tu me fais mal…— Alors à genoux et satisfais ton Maître ! Je donnai un grand coup de rein pour le renverser et m’échapper. Il me retint usant de son poids et de sa force et m’administrant encore de nouvelles claques cuisantes sur mes fesses douloureuses. Cela n’avait plus rien à voir avec les fessées excitantes qu’il m’avait parfois administrées et qui me conduisaient à la jouissance. C’était une vraie correction. Je criai et bondis de côté ; il me retint et me pinça violemment le sein ; je hurlai, proche des larmes : — Oui, oui, je le fais !— À ta place, et occupe-toi de ma queue ! Essoufflée et vexée par les mauvais traitements, je soupirai et m’approchai de lui sans envie, juste pour avoir la paix. Je savais qu’il ne renoncerait pas. Il était ainsi, tenace et dominateur, impatient de me dresser à sa convenance. J’avais ...
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