1. Sœur avec avantages (1)


    Datte: 24/08/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... toujours eu tellement de tendresse pour ma petite sœur... Je me demande quel effet ça me fera d’entrer en elle. En tout cas, ça me motive à me plier à ses conditions: "S’il te plaît, frangine, est-ce que je peux te voir toute nue?" Naturellement, elle accepte. Je fais descendre la fermeture éclair de sa robe le long de son dos merveilleusement cambré, puis je fais glisser sa robe moulante à ses pieds. "La première fois que j’ai eu envie de toi" dit-elle, me regardant la déshabiller par-dessus son épaule, "c’était en Grèce, en vacances avec les parents… J’avais choisi ce petit bikini rouge pour te taper dans l’œil. Tous les soirs, je rentrais dans mon lit en fantasmant sur toi…" Oh, elle m’avait tapé dans l’œil, c’est sûr, je m’en souvenais, de ce maillot, et moi aussi, je me faisais des films à son sujet, même si j’étais loin de me douter que c’était réciproque. "J’aurais dû te rejoindre dans ton lit…" lui dis-je en couvrant sa nuque de baisers. "Dis, tu me donnes la permission de couvrir ton corps de baisers?" Elle frémit. Presque nue, elle ne porte plus qu’un délicieux ensemble en dentelle et des bas. Elle s’est faite belle, elle sent bon, et mon sexe durcit encore. Elle recule ses fesses et les fait glisser contre mon pantalon, lentement, pour me rendre fou. Pendant ce temps, mes mains parcourent le corps de ma sœur, ses flancs, sa taille, ses hanches, ses seins à travers le soutien-gorge dont je la débarrasse. Je n’arrive pas à croire qu’elle me laisse faire tout ça. ...
    ... Est-ce que ce moment génial va nous valoir à tous les deux des années de psychothérapie? Même si c’est le cas, le jeu en vaut la chandelle… "Hmmm… C’est bon…" soupire-t-elle alors que je me met à lécher et sucer un de ses tétons en caressant l’autre. Je sens les pointes des seins de ma petite sœur durcir d’excitation sous les coups de ma langue gourmande et ça lui arrache des gémissements d’approbation. A présent on a tous les deux atteint le point où il n’est plus question de reculer: enfiévrés, nous ne sommes plus tout à fait maîtres de nos pulsions - si elle me demandait de tout arrêter maintenant, je ne sais pas si j’en serais capable… On s’embrasse - non, on se dévore la bouche, nos mains affamées de peau couvrant nos corps brûlants de caresses. Capucine se met à genoux devant moins et me débarrasse de mon pantalon avant de baisser mon caleçon et de libérer mon pénis en érection qui s’ y sentait très à l’étroit et qui vient pointer droit vers son visage. Appâtée, elle se lèche les lèvres. "S’il te plaît, grand frère, est-ce que tu m’autorises à te sucer la queue?" dit-elle d’une voix teintée de fausse innocence. L’entendre prononcer de telles cochonneries renforce encore mon envie d’elle. Elle n’attend même pas mon feu vert pour lécher mon gland du bout de la langue et pour l’avaler, avant de s’en régaler comme d’une délicieuse friandise. Je n’arrive pas à y croire: ma petite sœur est à mes pieds en train de me faire une fellation: elle me pompe le dard d’avant en arrière, ...
«1234...»