1. L'université : de la soumission à la consécration (14)


    Datte: 25/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    La nuit est intense et éreintante. Nous nous couchons aux premières lueurs de l’aube, il est donc inutile de préciser que les cours de la matinée se dérouleront sans nous. Heureusement, l’influence de Sonia et de Jules sur l’université semble telle que ça ne devrait pas poser de problème particulier. Et cette influence est aussi la mienne désormais ! Même si j’ai du mal à m’y faire, cette idée me plaît beaucoup. Quand j’émerge enfin vers midi, je me rends compte que quelqu’un vient d’entrer dans l’appartement. Sans doute est-ce d’ailleurs ce qui m’a réveillé. Je me frotte les yeux pour essayer de chasser la somnolence qui s’y attarde, mais il me faudra manifestement un peu plus que ça. Pourtant, je me sens pleinement réveillé à l’instant où j’identifie les nouveaux arrivants (car ils sont deux). Il s’agit de Sonia, qui revient avec… Paul ! Elle n’a pas traîné. Je comprends mieux d’ailleurs en m’attardant une seconde sur sa tenue : elle n’a pas vraiment lésiné sur les moyens. Elle a de nouveau enfilé une de ses robes qu’il serait encore bien en-dessous de la réalité de qualifier de provocante : s’arrêtant juste sous ses fesses, qu’elle dévoile largement à chacun de ses mouvements, elle est percée sur le devant d’une large ouverture qui laisse bien plus que deviner ses seins. L’attrait de sa tenue sur Paul est évident : il la regarde en bavant presque, et il semble avoir toutes les peines du monde à la regarder dans les yeux. Tout au plus consent-il à jeter sur moi un regard ...
    ... féroce, totalement dénué d’empathie, lorsque Sonia mentionne mon existence. Il est bon que Paul soit un tel salaud, ça m’aidera à ne pas avoir de scrupules à mon tour quand le moment sera venu. C’est-à-dire très bientôt. Je ne sais pas exactement quelle histoire elle lui a raconté, mais les regards méchants qu’il me jette dans les rares moments où il parvient à détourner les yeux du corps de Sonia m’inclinent à envisager le pire. Le pauvre, s’il savait ! — Comme je te le disais, lance soudain Sonia, reprenant apparemment leur conversation là où ils l’avaient laissé, Justin est venu me voir en espérant coucher avec moi. Nos regards qui se croisent ont la même petite lueur joyeuse, l’espace d’un court instant, mais il est peu probable que Paul s’en aperçoive. Je reprends d’ailleurs immédiatement mon masque de douleur. — Comme s’il ne savait pas que j’appartiens à Jules, et juste à lui ! conclut-elle. — T’es vraiment con… me jette méchamment Paul à la figure. Je baisse la tête, faussement humilié. — Pourtant, j’aimerais lui donner une petite leçon, reprend Sonia en se tournant vers lui. Elle se colle à lui, si bien qu’il doit sentir le contact de ses seins contre son torse. Et qu’il a sans doute beaucoup de mal à y être indifférent. — Qu’est-ce que tu dirais de lui montrer ce que sait faire un vrai mec ? demande-t-elle en posant sa main sur le sexe de Paul, que j’imagine déjà aussi dur qu’il est possible de l’être. — Mais… et Jules ? s’alarme-t-il mollement. — Jules n’est pas là. ...
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