1. Du lycée aux études (1)


    Datte: 25/08/2018, Catégories: Hétéro

    Bonjour à tous, ceci est ma première histoire, je vous demanderai donc d’être indulgents et n’hésitez pas à me dire dans les commentaires si vous appréciez ou si au contraire vous n’aimez pas, dans ce cas je vous demanderai de mettre des critiques constructives. Bonne lecture à tous — -------------------------------------- Partie 1 : La prof d’allemand Chapitre 1 : Le commencement Tout a commencé lors de ma terminale. Je m’appelle Gabriel Lecompte, j’avais 18 ans, roux aux yeux bleu-clair, un mètre soixante-quinze, pas particulièrement musclé mais le plus important c’est de se sentir bien dans sa peau et j’étais dans un collège-lycée catholique dans le val d’Oise. Depuis trois ans j’avais déjà la même professeure d’allemand : Mme Schmied une belle femme blonde qui devait tout juste atteindre la quarantaine, elle faisait 1 mètre 70 avec des yeux verts émeraude et une certaine poitrine assez développée comme chez une bonne partie des Allemandes. Revenons-en à l’histoire, ça faisait trois ans que j’avais cette prof, avec qui je parlais très souvent après les cours voire qui me ramenait chez moi certains soirs étant donné que j’habitais sur sa route. Depuis un an, je la regardais autrement, plus avec le regard d’un enfant mais celui d’un homme regardant la magnifique femme mature qu’elle était. Et ce soir-là quelque chose avait changé, je la vis monter dans sa voiture avec des yeux rouges alors que j’étais déjà assis sur son fauteuil en cuir. — Qu’est-ce qui ne va pas Renate ? ...
    ... (Oui je l’appelle par son prénom en dehors de la sphère scolaire) Tu as l’air triste ce soir. — C’est à cause de mon mari me dit-elle en sanglotant, il revenait de voyage d’affaires et il a eu un accident de voiture, il est à l’hôpital de Grenoble et je ne peux pas le rejoindre pour le moment et de toute façon ça ne servirait à rien — Si je peux t’aider d’une manière ou d’une autre n’hésite surtout pas lui répondais-je alors ohloeexz Elle fit alors quelque chose qui me surprit, elle me serra dans ses bras comme à un ours en peluche sauf que l’ours en peluche c’était moi dans le cas présent. Nous étions corps contre corps et nous étions trempés après la pluie qui n’avait pas cessé de tomber tout au long de la journée. Je sentais sa chaleur contre moi et elle devait sentir celle qui traversait mon corps. À ce moment-là elle lâchait son étreinte et se rassit à sa place pour conduire. Il était temps je commençais à me sentir à l’étroit dans mon caleçon moi. Elle me déposa chez moi et après une bise appuyée sur ma joue suivie d’un petit câlin, elle repartit à Asnières dans son appartement. Le lendemain après-midi je retrouvais Renate dans un café pour qu’elle m’aide en allemand car je n’avais pas compris la leçon du jour. Nous parlions du subjonctif 2 pour ceux qui connaissent. Après une bonne heure d’exercices et d’explications d’erreurs nous reprîmes un coca chacun mais je le lui offrais pour m’avoir aidé aujourd’hui. Nous nous mîmes à parler de nos vies respectives comme nous le ...
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