1. Marie et le sculpteur aveugle (4)


    Datte: 29/07/2017, Catégories: Erotique,

    CHAPITRE 4 LE NOUVEAU CLIENT Les jours passent avant que le sculpteur soit prêt pour cette fameuse séance qui m’excite comme une puce. Avec la chaleur et le fait que personne ne peut me voir, la plupart du temps, je ne prends même plus la peine de porter de vêtement quand je me rends chez Lucien. Maintenant, j’adore trop me balader à poil en extérieur et nager nue. Je me sens en communion avec la nature, avec le soleil. De toutes façons, à part Lucien qui ne peut me voir, il n’y a que Robert et Alain qui pourraient débarquer à l’improviste mais qui ont déjà eu tout le loisir de me reluquer sans vêtements. Bon, ça me gênerait quand même encore, mais je me surprends tellement d’avoir perdu ma pudeur maladive. Je me sens si bien ici. Je n’ai plus de migraines ou de boule au ventre comme au lycée ou chez moi avec mes parents adoptifs. Quel contraste, quel pied, quelle expérience incroyable ! Depuis quelques jours, Lucien sculpte quelqu’un d’autre et a fermé non seulement les volets mais aussi les portes... J’ai peur qu’il se doute que je cherche à les espionner. Un jour, je lui demande : « Et le jeune homme ? Vous croyez que je pourrais assister à une séance un jour quand vous le sculpter ? » « C’est drôle... il m’a demandé la même chose... » « Comment ça ? » « Il m’a demandé s’il pouvait te regarder quand je te sculpte » «Il ne manque pas d’air de vous demander ça » «Il ne manque pas d’air ? Mais tu viens juste de me demander la même chose » Il m’a encore cassé ce vieux ...
    ... malin. Je veux lui demander ce qu’il a répondu mais le téléphone sonne. C’est un client qui lui demande quelque chose on dirait mais le sculpteur semble réticent à accéder à sa demande. La conversation s’éternise. Je repars plonger et me rafraichir dans l’eau transparente qui me tend les bras. Tans-pis pour le jeune homme modèle, je verrai peut-être les sculptures finies. Les jours suivants, je me tâte pour aller acheter quelque chose. D’un côté Alain m’apporte toujours des vivres – et sa rose traditionnelle - et même d’autres livres que je dois avoir pour la rentrée et que j’ai commencé à potasser, mais de l’autre, je dois absolument trouver des fringues dignes de ce nom ! Je ne peux pas sortir quasiment à poil. Ça va bien dans le jardin mais comment sortir dans cette tenue ? J’ai trop peur d’attirer les regards et de faire à nouveau une mauvaise rencontre. Finalement, je me rends compte que je suis prisonnière et dépendante d’Alain et du sculpteur... *********************************************************************** A L’HÔTEL Dans la chambre de l’hôtel, sans discontinuer, Marie déroule son histoire qui m’émoustille tellement que je me surprends à sentir mon slip s’humidifier et mon sexe gigoter et enfler en fonction des moments les plus intenses… Elle raconte son histoire avec une telle passion, une telle immersion, qu’elle ferme les yeux presque constamment. A certains moments où elle se revoit en pleine jouissance, j’ai le sentiment qu’elle est dans le même état qu’à ...
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