Sophie ou Eloi, homme ou femme
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
hépilé,
hotel,
intermast,
Oral
hsodo,
champagne,
confession,
extraconj,
Gay
... est suspendue. Je regarde le caleçon descendre, m’attendant à voir apparaître le buisson pâle de son pubis… Le tissu continue à descendre. Au moment où la racine de son sexe apparaît, le jeune homme se retourne lentement, m’offrant le côté face de son anatomie. Le tissu dévoile, centimètre par centimètre, des fesses, pâles, presque roses. Je suis surpris par leur rotondité. Des fesses aussi charnues sur un corps aussi mince et longiligne accentuent le caractère érotique du spectacle. Je laisse Eloi à son effeuillage. Je sens mon sexe se délover lentement sous le tissu de mon pantalon. Je suis même obligé de soulever les reins et de tirer sur le tissu pour laisser libre cours à son développement. Le caleçon gît maintenant sur la moquette, à côté du coton bleu ciel de la chemise et du Jean’s. Sans même que je le lui demande, Eloi, après quelques minutes, pivote lentement sur lui-même. La lumière vacillante des bougies éclaire en contre-jour le profil duveteux des jeunes fesses. Eloi est maintenant face à moi, le visage toujours baissé et masqué par la longue mèche blonde, les mains en conque croisées sur son sexe. Le torse et les jambes sont d’une étonnante finesse. Pâles, quasiment glabres, à l’exception de la légère mousse blonde qui couvre ses avant-bras et ses jambes. L’effeuillage s’est déroulé dans un silence total. Nos respirations se sont accordées. Un léger frisson semble parcourir Eloi et dresse la mousse blonde de ses poils. Je sais que nous allons franchir une étape ...
... irréversible. Je n’ai pas eu d’expérience avec des hommes depuis mes treize ou quatorze ans, lorsque nous nous retrouvions entre pensionnaires sous la douche et nous amusions à nous masturber mutuellement pour voir jaillir nos premiers jets de sperme, preuves de notre virilité naissante. Enfin, pour être honnête, si… Il m’est arrivé une autre expérience. Je devais avoir vingt-deux ou vingt-trois ans, je rentrais d’une soirée un peu arrosée, et je m’étais garé sur une aire d’autoroute pour laisser les brumes alcooliques se dissiper avant de reprendre la route. Vers trois heures du matin, pris d’une envie d’uriner, je m’étais rendu aux toilettes, et alors que je soulageais ma vessie, porte ouverte, une ombre s’était glissée derrière moi et s’était saisie de mon sexe. Je me souviens que, frustré d’une soirée sans conquête, je m’étais laissé faire et que de caresses en caresses, la porte s’était fermée et que mes vêtements et ceux de l’inconnu s’étaient ouverts. Je me souviens de la sensation de la bouche avalant mon sexe, de l’index jouant avec mon anus, du latex m’enveloppant, de l’ombre se pliant devant moi et de ses doigts me guidant entre ses fesses. Toutes ces images défilent et je sens, à mesure de leur évocation, les pulsions de sang gonfler mon sexe qui se tend sous le tissu. D’un léger mouvement de tête, Eloi-Sophie a rejeté la mèche qui lui barrait le visage. Il plonge son regard dans le mien, sans émotion apparente. — Tu sais ce qui risque d’arriver, au point où l’on ...