1. En vacances avec ma cousine (1)


    Datte: 26/08/2018, Catégories: Lesbienne

    ... marche à sa recherche dans le jardin. Soudain, je la retrouve : je suis surprise de la voir se soulager au-dessus de mes plates-bandes, debout jambes écartées ! -J’arrose tes fleurs ! me dit-elle pour se justifier. -Tu es pire qu’une gamine ! Tu mérite une petite correction ! Je m’assieds en tailleur dans l’herbe et Annabelle vient sans discuter se positionner sur mes genoux pour que je puisse la fesser sans peine ! Je commence par de petites tapes et j’augmente l’intensité jusqu’à qu’elle crie ! Ce sont des cris de plaisir ! Je tape de plus en fort et elle adore ! wqiwvvfn Annabelle est toute excitée par la fessée. Elle me supplie de faire quelque chose ! Je commence à la caresser mais il me vient une meilleur idée. J’ai un gode caché dans ma chambre et je l’apporte. Annabelle paraît surprise. Elle semasturbe sans doute quand elle est seule mais osera-t-elle le faire devant moi ? Je prends les devants : je commence à me goder devant elle. Puis je le lui prête et elle le fait elle aussi ! J’aime la voir se donner du plaisir toute seule sans qu’on se touche ! C’est tout aussi excitant ! Soudain je pense à Maman ! Et si elle revenait à l’improviste ! Elle aurait sans doute une attaque en nous voyant ! Heureusement, nous avons le temps de nous essuyer et de nous rhabiller : quand Maman revient, ...
    ... elle nous trouve bien sagement allongées sur nos chaises longues... Le soir, nous prenons un bain comme d’habitude, les corps enlacés, l’une contre l’autre. C’est notre dernière nuit ensemble : nous décidons de la passer dans le même lit, et de nous caresser plus qu’à l’habitude. En effet, dès le lendemain matin, Annabelle doit reprendre un train. Au réveil, dans un lyrisme effréné, nous parlons en alexandrins ! -Ma très chère Annabelle, tu vas bien me manquer Avec toi j’ai goûté à bien des voluptés. Je vais te regretter toi et ton corps parfait, ton superbe fessier qui m’a fait fantasmer. Je ne me lasse pas de regarder tes seins mais ce que j’aime aussi c’est mater ton vagin ! Et là devant mes yeux ton petit berlingot apparaît en relief, je le trouve si beau. Dans ton intimité quand quelques doigts je rentre, et quand je les remue, tu ressens dans ton antre une forte jouissance et une volupté qui vont rapidement doubler d’intensité. -Oui, me dit Annabelle, avec aucunamant je ne me suis sentie ainsi au firmament. Hélas ! je dois partir, mais dans mon souvenir, je garde en bonne place ce délicieux plaisir. Ah ! C’étaient là vraiment des orgasmes incroyables comme ces quelques jours en tout point mémorables. Tout cela me chamboule au tréfonds de mon âme. Je crois que maintenant je préfère les femmes ! 
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