un père aimant (1)
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
Gay
... me facilitait les choses. Je glissai doucement ma main le long de sa raie du cul et atteignit son anus. Je bandais à mort ! Ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait aller tripoter le cul de son père, qui visiblement ne demandait que ça. Puisqu’il était à poil, je passai ma main par devant et lui pelotai les couilles. Je sentis au passage que, bien que venant d’éjaculer, il bandait à nouveau. Je caressai doucement sa bite qui frémit. Je retirai ma main mouillait un doigt et allai presser son anus. Il était moins assoupli que le mien, et je dus insister pour pénétrer, mais j’y arrivai. Son absence de réaction montrait qu’il ne dormait pas. Je lui doigtai le cul, en me branlant, finit par jouir, et retournai dans ma chambre. Le lendemain matin, en descendant pour le petit déjeuner, je redoutai une réaction. Il n’y en eût pas. Comme s’il ne s’était rien passé. L’après-midi, pressentant qu’il se passerait des choses la nuit suivante, je passai un bon moment à me travailler le trou avec mes carottes. Le soir, j’allai me coucher tôt, prétextant être fatigué. Je me lubrifiai copieusement le cul, et m’allongeait sous les draps, à plat ventre, cuisses écartées, sans pantalon de pyjama. J’oubliais intentionnellement d’éteindre ma lampe de chevet. Quand j’entendis mon père monter, je me mis à ronfler assez bruyamment. Mon père fila se mettre en pyjama, puis revint dans ma chambre, ou je ronflais toujours. Quand il souleva les draps, il resta un moment interdit. Puis se remémora la ...
... nuit passée. Ce qui s’était passé, montrait un accord consenti et implicite, dont nous ne parlerions pas. Mon père se glissa donc à côté de moi. Il me mit vite un doigt au trou. Il le trouva préparé à un point qui appelait une véritable pénétration. Il se coucha doucement sur moi. Je sentis sa bite en érection coulisser le long de ma raie du cul. Puis l’extrémité s’arrêta en face de mon trou, et appuya doucement. J’étais si bien préparé que le bout rentra tout seul. Je grimaçai un peu car c’était la première fois. Il dût sentir ma crispation, car il s’arrêta. Puis progressa tout doucement. Je ne ronflais plus, je sentais une vague de désir et d’excitation, en sentant cette queue me pénétrer, me caresser et me chatouiller les intérieurs. Je me dominai pour ne pas trahir mon excitation. Il commença à me ramoner par de lents va-et-vient. Mon plaisir montait, montait... Il accéléra doucement le rythme. J’éjaculai sous moi. Je ne tardais pas à le sentir gicler dans mon cul. Il se dégagea doucement, prit soin d’éteindre la lumière, et regagna sa chambre. Epuisé par ma tension nerveuse, mais rempli de bonheur, je m’endormis aussitôt. Le lendemain matin, bien sûr, il ne s’était rien passé... Cette situation commençait à me peser. Aussi, en fin d’après-midi, après m’être bien préparé, je grimpai dans ma chambre, me mis à poil, et attendis le retour de mon père. Quand j’entendis la porte d’entrée claquer, je filai m’installer sur mon lit, sur mes genoux, cuisses écartées, visage sur ...