L'escalade (suite des évadés)
Datte: 26/08/2018,
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Dans la zone rouge,
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Etre obligé de bosser un samedi matin ce n’est quand même terrible. Enfin cet après-midi repos, il y a rugby à la télé, je ne vais pas bouger du reste de la journée. Il fait beau, la circulation est fluide et je suis rapidement arrivé dans mon petit lotissement. D’un seul coup je m’arrête à une trentaine de mètres de la maison. Mon cœur s’accélère. « Oh non… ». Dans la montée du garage stationne une voiture que je reconnais malheureusement. Ce break noir ne peut que m’apporter des bouleversements dans mes projets. Je me gare un peu n’importe comment et je me dirige rapidement vers la porte tout en lorgnant vers les habitations voisines. Pas de curieux aux fenêtres. Je rentre directement sans sonner et me dirige lentement vers le salon. Les bruits que j’entends ne laissent aucun doute sur ce qui s’y passe. Dans le canapé deux femmes d’une trentaine d’années fument tranquillement en regardant le spectacle qui se déroule devant elle. Ma femme, la robe relevée largement, les collants et la culotte sur les chevilles, subit les vigoureux assauts de Khaled qui la sodomise à grands coups de reins. Il se tourne vers moi « Ah tu es là… content de vous revoir, toi et le cul de ta femme ». Eliane, secouée au rythme des coups de boutoirs se mord les lèvres et s’agrippe aux bords de la table du salon. Elle ne me regarde pas. Dans un dernier assaut, Khaled se vide dans les entrailles de ma femme. Il sort lentement et s’essuie avec la ...
... nappe. « Bon passons aux choses sérieuses, le travail avant tout… les filles préparez-là. Je t’emprunte ta femme pour le week-end tu vas pouvoir te reposer. ». Comme j’ouvre la bouche pour répliquer il me calme rapidement. « Tu veux jouer au héros, lopette ?...N’oublie pas nos petites videos ». Les deux filles emmènent Eliane vers la chambre, tandis que Khaled après s’être servi un whisky s’assied dans un fauteuil et allume une cigarette. « Ta salope représente un bon potentiel…ce serait dommage de ne pas en profiter. Si tu es sage on te la ramène demain soir ». Au bout d’un quart d’heure, les deux femmes reviennent, poussant Eliane devant elles. Il est difficile de reconnaitre ma femme dans la créature qui vient d’entrer. Maquillée de manière très marquée, un collier de chien autour du cou, des bas résilles, une mini-jupe sous laquelle aucune culotte ne vient cacher le sexe à nouveau glabre, les hauts talons sur lesquelles elle chancèle et un body ajouré qui laisse à l’air libre les seins dont les pointes ont été colorées. Malgré moi je bande. « Trouvez lui un pardessus pour sauver les apparences les filles…pas besoin que tout le quartier sache que c’est une pute ».Ils se dirigent tous les 4 vers la sortie. « Allez, t’inquiète on te la ramènera ». Il va être 191h00 je suis seul depuis ce midi, torturé par ma lâcheté, tournant en rond dans la maison. Non, je pense qu’ils ne lui feront rien de mal, elle va bien finir par revenir. Le téléphone sonne et je me précipite. La voix de ...