1. Jeanne la femme de mon patron.


    Datte: 27/08/2018, Catégories: Masturbation Mature,

    Ceci est ma première histoire, donc ne tirez pas sur le pianiste…Il y a nombre d’années, j’avais réussi à trouver un job d’étudiant dans mon village. Par chance, le vendeur de vélos dans ma rue a bien voulu de moi comme apprenti mécano. J’avais tout juste 16/17ans à l’époque et étais toujours aux études dans une école de Liège.Le patron Jean et son épouse Jeanne tenaient ce commerce depuis des années et n’avaient pas d’enfants. Jean était quand même quelques années plus vieux que Jeanne. Comme tout commerçant, Jean travaillait beaucoup et de plus était assez sportif. Ceci l’amenait à profiter de ma présence à l’atelier pour aller voir les fournisseurs et faire ses randonnées cyclistes avec ses amis.Après quelques mois d’apprentissage, c’est à dire les mercredi après-midi et les samedis journées, j’ai commencé à me retrouver seul à la boutique tandis que Jeanne s’affairait dans la maison mitoyenne au commerce. Une baie permettant de passer d’une maison à l’autre sans soucis.Mon job était intéressant, je montais des vélos de toutes pièces du sur mesure en sorte. L’atelier était sur l’arrière du commerce et était très fort exposé au soleil, l’été c’était intenable. De ce fait j’étais souvent en salopette avec juste un boxer. Le tout bronzé comme une aspirine, corpulence mince pour 170 cm.J’avais effectivement remarqué que Jean étais plus occupé par ses affaires et son sport que par son épouse, mais à 16/17 ans à l’époque… Cela ne m’empêchait pas comme tout ado de fantasmer ...
    ... sur Jeanne.Jeanne était châtain clair, presque blonde, cheveux mi-longs, corpulence fine d’environ 160 cm et de 55 kilos toute mouillée les yeux gris clairs, toujours souriante.Elle portait presque toujours des chemisiers et des jupes, jupes s’arrêtant au dessus du genou, parfois avec des collants, parfois sans. Manifestement elle avait une petite poitrine.Un mercredi après-midi, tandis que j’étais entrain de monter les rayons sur une jante, donc assis sur un petit tabouret très bas, Jeanne est passée dans l’atelier pour voir si je ne manquais de rien et tailler une bavette. Jean était parti et ne revenait que vers 1800 heures.Elle me posa quelques questions sur ma petite copine tout en restant debout devant moi, il est vrai que cette relation battait de l’aile, bref. Je remarquais bien que Jeanne était un peu nerveuse. Elle se dandinait comme si elle voulait me faire comprendre quelques ou me dire quelque chose. Elle blaguait, et d’un coup, du se rendre aux toilettes situées dans la remise derrière l’atelier. Elle passa donc devant moi et releva les bords de sa jupe en prémices de l’urgence… Gloups.Bon j’avais rien vu, mais imaginé beaucoup. Heureusement que j’étais et restais assis sur mon tabouret. Jeanne quant à elle assise aux toilettes n’avait presque pas fermé la porte et continuait à me parler de tout et de rien. Je devais être rouge pivoine à mon avis bien que je n’avais pas vue directement sur elle.Ce mercredi là, je suis rentré chez mes parents la tête ailleurs. ...
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