Tante Gisèle, maman, et les autres... (24) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (24)

... -AAAaaah, ouiiiiiiiii, Johnny ! Je sens ton sperme ! Putain que c’est bon ! En les entendant jouir tous les deux, je ne peux me retenir plus longtemps et à mon tour, je me vide les couilles dans le cul de cette salope qui a un autre orgasme si puissant qu’elle s’éjecte de la queue de son fils pour s’effondrer avec moi, ma bite dans son cul, sur le lit. Après un bref repos ou Larissa coincée entre nous deux se laisse caresser et embrasser, elle sent ma bite qui reprend de la vigueur entre ses fesses. — Aaahh, c’est beau la jeunesse ! J’ai dans ma main une queue qui se durcie sacrément et je sens sur mon cul une autre qui frétille ! Elle se couche sur son dos, tire ses jambes vers elle et nous dit. — Mes deux grands garçons sont prêt pour une autre partie de jambes en l’air ? — Plus que prêt Maman ! Nous répondons en cœur. -C’est bien mes amours. Faites jouir encore maman. Et c’est au tour de mon bébé de prendre mon cul. fdefbbxy Je me place entre ses jambes pour lui mettre dans sa chatte béante toute chaude, trempée et avide de sexe, mon sexe qui a vite reprit une belle érection. Je me penche en avant en maintenant ses chevilles sur ses épaules et Johnny se place derrière moi pour lui enfiler sa bite dans son cul bien graissé par mes ...

... soins. Larissa est de nouveau à notre merci et pour son plus grand plaisir. Quand je m’enfonce dans son vagin la bite de son fils sort de son cul et quand je me retire presque de sa chatte il s’enfonce à fond dans ses entrailles. Elle est tellement salope et excitée qu’elle martyrise en même temps son clito en couinant comme une truie sous nos coups de bites qui lui labourent de plus en plus vite ses deux orifices offert à notre perversité. Son fils commence à s’affoler, perd le rythme et crie. — Putain de Merde ! Maman ! Je t’encule ! Je vais encore jouir ! — Retiens-toi encore, halète sa mère, je sens que ça vient ! — Moi aussi… dis-je, tiens bon ! Johnny ralenti ses allers retour et gémit doucement se retenant le plus possible mais Larissa crie. — OUIIIIIIIII ! ALLEZ-Y mes salauds ! Tous les deux !ensembles ! C’est le signal du départ d’une jouissance collective sous nos cris de mâles et de femelle comblés. Une demi-heure plus tard je les quitte, les laissant dans les bras l’un de l’autre, en leur disant. — Salut les amoureux, on aura sûrement l’occasion de se revoir. Moi je dois aller m’occuper de ma mère qui ne peut plus se passer de moi... tout comme ma tante Gisèle et sa fille qui ont toujours besoins de mes services… Fin Phantome