1. Béryl : safari sensuel au Kénya


    Datte: 27/08/2018, Catégories: f, fh, couleurs, extracon, vacances, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio, extraconj,

    ... de la jeune femme, il l’attira brusquement contre lui, appréciant le chaud contact de la poitrine ferme s’écrasant contre son torse. Béryl se laissa aller contre le corps musclé, enfouissant son visage dans le cou de l’homme, comme pour masquer son trouble. Pendant que les mains du chauffeur s’aventuraient sur ses fesses, elle frottait son ventre contre le membre dressé à la verticale, coincé entre leur deux corps. Ils titubèrent ainsi quelques minutes, chacun explorant le corps de l’autre en grognant de plaisir. Koné avait maintenant glissé ses mains entre le sillon profond de sa croupe, jusqu’à sa vulve trempée qu’il palpait fiévreusement. Le contact des doigts calleux contre ses chairs délicates électrisa Béryl, et elle eut un petit cri quand une phalange fureteuse se glissa au creux de ses lèvres, investissant son vagin brûlant. Mais Koné, qui en voulait plus, s’écarta et tenta de l’allonger sur la table pour la pénétrer. Elle s’échappa avec un sourire : — Doucement, nous avons le temps, laisse-toi faire. Puisqu’elle avait décidé de conduire les ébats, elle ne voulait pas précipiter les choses mais profiter du corps du chauffeur, en particulier de cette tige sombre qui battait contre son ventre. Pliant lentement les jambes, elle embrassa d’abord le torse du jeune Noir, laissant ses seins venir baller contre le sexe tendu, avant de le glisser en leur sillon, le branlant doucement dans la gaine ainsi créée. Fasciné, le sexe délicieusement compressé par les globes fermes, ...
    ... Koné regardait son gland apparaître et disparaître au creux de la poitrine généreuse de Béryl. Les pointes dardées trahissaient le plaisir qu’elle prenait à cette caresse perverse. Le libérant d’entre ses seins, elle se mit à genoux. Elle admira un moment le sexe maintenant bien tendu. Courbant la nuque et faisant grogner de plaisir le jeune chauffeur, elle vint titiller le gland de petits coups de langue. Entrouvrant les lèvres, elle le laissa glisser dans sa bouche brûlante, l’avalant à moitié, le sentant palpiter avec délice contre son palais. Koné, les bras ballants, se laissait faire, les yeux fixés sur la bouche pulpeuse qui gobait son sexe. Béryl, tout à son plaisir de dominer cet homme, lui sortit le grand jeu. Encerclant la base de son sexe d’une main, elle vint palper de l’autre les bourses gonflées, tout en le suçant avec application. Il se mit à grogner des mots dans sa langue natale. Quand elle le sentit au bord de la jouissance, elle le relâcha, au grand désespoir du Noir : — Ah non, madame, faut pas s’arrêter, tu es trop bonne suceuse… Elle sourit sous le compliment un peu cru, mais elle ne comptait pas laisser le jeune homme jouir tout de suite. — Allonge-toi, lui ordonna-t-elle. Obéissant, il s’allongea sur le dos à même le sol. Béryl se remit debout, les jambes de part et d’autre du bassin de l’homme étendu. Le regard du Noir remonta sur le haut de ses cuisses, savourant à travers la forêt des mèches noires du pubis la vue de ses lèvres maintenant luisantes de ...