1. Béryl : safari sensuel au Kénya


    Datte: 27/08/2018, Catégories: f, fh, couleurs, extracon, vacances, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation entreseins, Oral pénétratio, extraconj,

    ... le Noir prit sa chance et posa sa main à l’intérieur de la cuisse de Béryl, savourant la douceur et la chaleur de sa peau. Croyant que c’était Jeff qui reprenait sa caresse, Béryl ne réagit pas et laissa remonter la main entre ses jambes jusqu’à leur jointure, et Koné fut surpris de la trouver si brûlante, si trempée, prouvant le plaisir de la jeune femme de se faire caresser ainsi à la sauvette. Surveillant les mouvements de Jeff, il palpa avec délices la vulve moelleuse, suivant les replis de sa féminité à travers le satin mouillé, puis il remonta sur les fesses, les pétrit doucement, faisant glisser la culotte entre le sillon profond de la croupe. Béryl frémit sous le contact de cette paume sur ses fesses ainsi dénudées, que Koné admirait sous la jupe. La sensualité de cette Blanche et le fait de pouvoir contempler sa quasi nudité et de la toucher en profitant de sa méprise le rendait fou. Il finit malgré tout, lui aussi, par retirer sa main, la tête en feu, de peur de se faire prendre, mais ravi d’avoir pu déjà en profiter. Le convoi se remettant en marche, le couple reprit une attitude raisonnable et ils finirent par rentrer au camp pour le déjeuner. Le safari reprit dans l’après-midi, mais Jeff monta cette fois-ci avec une des autres femmes pour ne pas susciter la méfiance du mari et Béryl se retrouva avec un charmant monsieur de plus de 60 ans qui resta très convenable. Au moins put-elle ainsi mieux profiter du spectacle des animaux sauvages. Ils rentrèrent au camp en ...
    ... fin d’après-midi et Koné entendit Béryl annoncer à son mari qu’elle allait prendre une douche dans la cabine dressée sous un arbre, un peu à l’écart du camp. Le Noir, qui n’attendait que cette occasion, se précipita pour grimper dans l’arbre situé au-dessus de la douche, se dissimulant derrière le feuillage. Il avait ainsi une vue plongeante sur les quatre pans de toile qui constituaient la cabine sommaire. Il vit Béryl entrer et fermer soigneusement le panneau de toile. Se croyant ainsi à l’abri des regards, elle dénoua son peignoir et le fit glisser gracieusement sur ses épaules, dévoilant sa poitrine somptueuse. Malgré leur poids, ses globes ronds et pleins se dressaient orgueilleusement sur son buste. Koné distinguait même entre ses seins la touffe sombre de son pubis et, au delà de ses épaules, le haut de sa croupe fendue. Elle commença à se savonner la poitrine d’une main, l’autre se glissant entre ses cuisses pour une toilette intime. Sous l’agréable sensation de l’eau fraîche sur son corps, ses pensées se mirent à divaguer et revinrent au safari du matin et aux frissons de plaisir que lui avaient procurés les mains de Jeff. Excité par ce spectacle très érotique, le noir se libéra et commença à se masturber. Ce fut à ce moment que Béryl le repéra entre ses yeux mi-clos et elle se figea. Le climat tropical, la nourriture épicée mais aussi la frustration provenant de ces caresses inachevées la maintenaient dans un état de semi excitation permanent et, de se savoir matée ...
«12...456...13»