Béryl : safari sensuel au Kénya
Datte: 27/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
couleurs,
extracon,
vacances,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... la taille, dévoilant parfaitement le triangle de satin blanc qui moulait le haut de ses fesses avant de disparaître entre ses cuisses. Elle se releva brusquement, la gorge nouée, rouge de confusion, se rendant compte que les caresses appuyées de la veille n’avaient pas dû lui échapper. Elle hésita sur l’attitude à adopter mais elle ne se voyait pas crier au scandale alors qu’elle s’était caressée devant lui la veille… Les pensées confuses, elle ne réagit pourtant pas quand Jeff, qui ne s’était aperçu de rien, posa ses deux mains sur sa croupe, palpant à travers la jupe les fesses pleines, avant de se faufiler dessous pour remonter directement contre sa culotte. Après tout, le Noir avait déjà profité du spectacle et Béryl ne lui découvrait rien de nouveau… Pourtant elle frémit quand d’un geste brusque Jeff rabattit sa culotte a mi-cuisses, dénudant ainsi ses fesses superbes. Le contact des paumes chaudes sur sa croupe nue ôtait à Béryl toute velléité de résistance et elle le laissa également trousser la jupe sur sa taille. Le noir put ainsi admirer la belle cambrure de ses reins. Les mains de Jeff pétrissaient les fesses rondes, ouvrant parfois leur sillon profond, dévoilant le départ des lèvres à travers la toison sombre. Elle laissa les doigts se glisser entre la fourche de ses cuisses pour se lover contre sa vulve déjà trempée. Fou de désir devant le contraste entre son attitude passive et son sexe brûlant et humide, Jeff voulut aller plus loin et dégagea son sexe déjà ...
... tendu. Elle sursauta quand la tige durcie vint frôler ses fesses nues. Paniquée, elle glissa les mains dans le dos pour tenter de calmer les ardeurs de son amant. C’était moins la proximité de son mari qui la gênait que le regard brûlant du Noir qu’elle sentait posé sur sa croupe offerte. Dévoiler son corps était une chose, mais se laisser regarder en train de se faire pénétrer en était une autre. Jeff, lui, se moquait bien de la présence du Noir tant l’excitait l’idée d’enfin posséder Béryl. Mais, sentant ses réticences, il temporisa et se recula un peu. Il glissa une main sur le ventre plat avant de descendre le long de la douce déclivité du mont de Vénus pour mourir sur la pointe des lèvres. Il trouva vite le chemin du clitoris, qu’il vint agacer de l’ongle. Béryl creusa le ventre sous la douce caresse. Mais en se cambrant ainsi elle venait elle-même au contact du sexe bandé et si elle avançait pour s’échapper elle s’offrait mieux encore aux doigts fureteurs, déclenchant des ondes de plaisir qui lui faisaient de nouveau reculer les hanches. Le cycle pervers de ces ondulations eût bientôt raison de ses réticences et elle ne fuit plus le contact. Elle vint finalement d’elle-même plaquer sa croupe contre le bas-ventre de Jeff. Le sexe du patron, dressé à la verticale, palpitait entre le sillon profond de ses fesses rondes. Elle se mit alors à tournoyer doucement des hanches en gémissant de plaisir, finissant de le durcir. Ils ondulèrent ainsi quelques minutes. Béryl se sentait ...