Cougar, proie facile
Datte: 28/08/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
couple,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
revede,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
fsodo,
mélo,
extraconj,
Peur de vieillir et de ne plus plaire : le premier faux pas Il fait beau, il fait bon, je suis d’humeur gaie. Attablé pour le repas de midi au restaurant de La Cloche, j’ai commandé. En attendant, je lis les grands titres du quotidien local. En une, l’histoire du mari qui a voulu empêcher sa femme de partir avec son amant. Il s’est accroché à la voiture. Sur cinq kilomètres le ravisseur l’a traîné, le malheureux a lâché prise, il est mort dans le fossé. L’épouse infidèle aurait demandé à plusieurs reprises au conducteur d’arrêter le véhicule. Dans quel monde vivons-nous ? Je repense à Sacha Guitry :« Si tu veux punir celui qui te prend ta femme, laisse-la-lui ». Je n’irais pas m’accrocher à la voiture ! De toute façon j’aime ma femme et elle est folle de moi, après dix-huit ans de mariage comme aux premiers jours. Ce matin en m’embrassant, Colette m’a demandé d’aller prendre mon repas de midi au restaurant, car elle devait recevoir des amies pour une réunion de vente de lingerie féminine. C’était jour de congé de la bonne et elle ne pensait pas avoir le temps de préparer le repas. — Ne t’inquiète pas, je ne ferai pas de dépenses exagérées, peut-être juste des dessous affriolants pour t’exciter un peu, mon amour ! Un groupe bruyant s’installe dans le box situé dans mon dos. Ils doivent être trois ou quatre dont un bavard très en verve. Un vantard, le type qui a tout vu, tout lu, tout connu, qui réduit les autres au silence en imposant sa voix forte. Cette conduite impolie a ...
... généralement le don de m’énerver. Mais dans le contexte actuel, je prête l’oreille. Il amuse la galerie avec une histoire de cocu. — Bon, comme je vous le disais, il y a un mois, dans un grand magasin, j’aperçois une grande brune, une femme élégante, sûre d’elle, racée, belle, pleine de charme. Des hanches… une taille…. des jambes : « la femme », dans toute sa splendeur. Elle est chargée, je m’approche et lui propose mon aide pour porter ses achats. À ce moment j’aperçois de petites rides aux commissures des lèvres et de petites pattes d’oie aux yeux. Ma belle inconnue n’a plus vingt ans, plutôt le double. Mais une esthéticienne habile a maquillé son visage et la silhouette reste jeune. Elle me sourit avec grâce, me remercie et me tend le paquet le plus lourd.— Ah ! Ah ! Ah ! Tu t’es fait avoir. Au lieu de faire une fixation sur les croupes, lève les yeux, tu éviteras les vieilles.— Attends la suite. Elle arrive à une voiture rutilante, une grosse Mercédès. Je dépose ses achats dans le coffre. La dame me regarde avec bienveillance : « Les jeunes hommes comme vous se font rares », déclare-t-elle. Pour me remercier elle m’offre un verre chez elle. Qui aurait refusé ? À l’arrivée, je joue encore au boy dévoué, je décharge, je porte. Alors là, il faut voir la maison. Je m’extasie, ça la fait rire. À ma question elle répond que la bâtisse, son petit parc et les dépendances ont été évalués récemment entre sept et huit cent mille euros. L’intérieur est égal à l’extérieur, j’ouvre de ...