Découvertes pour Vincent 1
Datte: 28/08/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
voisins,
vacances,
volupté,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
nopéné,
init,
journal,
... minimum vital de tissu. Je me suis allongée au soleil et je l’ai attendu. Au bout d’une demi-heure, j’ai vu le rideau se soulever ; il commençait à se rincer l’œil mais il ne voulait pas sortir. Le petit coquin a même sorti son appareil photo et a commencé à me photographier. Quand j’ai vu ça, je me suis allongée sur le ventre pour qu’il puisse admirer mes jolies fesses. J’aurais aimé être à côté de lui pour voir sa tête quand il a vu mon petit string ! J’étais sûre qu’il ne pourrait pas résister à l’envie de le voir de plus près. Effectivement, au bout de dix minutes, j’ai entendu l’herbe s’écraser sous ses pas qu’il essayait pourtant de dissimuler. Quand je l’ai senti assez près, je me suis retournée franchement et je l’ai fixé. Il avait l’air surpris et ne bougeait pas. Il portait un short de bain et un tee-shirt. — Bonjour Vincent, comment vas-tu ?— Euh… Bien, merci. Et vous ? Il était abasourdi et semblait fasciné. Je ne devais plus le lâcher. — Moi aussi je vais très bien. Je profite de mes vacances au soleil. Et toi, que fais-tu pour les vacances ?— Euh… Je regarde la télé, je sors avec les copains, je m’occupe, quoi…— Mais je ne te vois pas beaucoup dehors. Tu devrais plus profiter du soleil.— Oui… Peut-être…— Dis-moi, tu voudrais bien me rendre service ?— Oui, bien sûr.— J’ai peur d’attraper un coup de soleil dans le dos. Tu ne voudrais pas me passer de la crème ? Je le vis ravaler sa salive et acquiescer. — Fais le tour, je viens t’ouvrir le portail.— D’accord, ...
... j’arrive dans deux minutes.— Je t’attends… Je le vis se précipiter chez lui. Je rentrai tranquillement chez moi, je me remis rapidement un peu de rouge à lèvres et je l’attendis au portail. Mais il n’arriva pas de suite et je le soupçonnai de se masturber avant pour ne pas se pointer avec une belle érection. Il arriva au bout de quelques minutes, tout essoufflé. Je le fis entrer ; pour s’excuser du retard, il prétexta un coup de téléphone alors qu’il allait sortir. Je souris et, en baissant les yeux, je vis une tache sur son bermuda. Le petit coquin n’avait pas perdu de temps, mais j’allais tout faire pour qu’il rebande vite. Je l’invitai à me suivre dans le jardin, et marchant devant lui, je tortillai mes hanches comme une petite salope. Je l’imaginais les yeux rivés sur mes fesses, se demandant ce qui lui arrivait. Je m’assis dans ma chaise longue et lui en fit autant dans celle qui se trouvait en face. — Tu ne t’ennuies pas trop ici ?— Bah, non. On a Internet depuis deux mois donc ça m’occupe un peu.— C’est vrai que par Internet, on peut faire pas mal de choses… et trouver tout et n’importe quoi.— Comment ça ?— Tu ne vas pas me faire croire que tu n’es jamais allé sur des sites cochons…— Mais… non, enfin…— Allons, tu peux me le dire, je l’ai déjà fait, moi aussi.— Ah oui ?— Oui, et il y a des choses vraiment surprenantes. À mon époque, les jeunes garçons montaient des expéditions pour acheter des bouquins pornos mais maintenant avec Internet, vous avez accès à cela de chez ...