1. Fanny et le moulin


    Datte: 29/08/2018, Catégories: fh, vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... courtois » réponds-je— « noble chevalier » s’esclaffe t-elle « voulez-vous rendre hommage à votre dame ? ». Fanny retire sa robe en tournant sur elle-même. Je me charge moi-même de lui ôter le reste. Elle est bientôt nue, debout devant le ruisseau qui bruisse, et je m’allonge sur l’herbe grasse. Ses seins sont ronds et lourds, presque cachés par ses cheveux. Elle se rapproche de moi en tournant et se retournant, dévoilant successivement ses fesses girondes, son sexe de paille. Elle est me fait bander. — « Madame » lui dis-je en tendant mes bras vers elle et elle s’allonge sur moi pour que je la pénètre. Le lit végétal est tendre et la pierre ombragée rafraîchissante. Nos ébats se ponctuent de baisers d’amour et de caresses égarées. Elle est friponne ma Fanny et trop intelligente pour manquer d’audace. — « On nous regarde », me dit-elle, tandis qu’assise sur moi, je l’encule.— « Qui, où ? ». Je m’inquiète. Mais elle n’arrête pas sa gavotte sur mon sexe et se contente de soupirer un peu plus fort. — « Un vieux… ...
    ... sur le chemin… continue ». Je redresse la tête un peu et je le vois alors, debout, immobile, à une vingtaine de mètres sur le chemin. Il observe, sans rien dire. Fanny s’échauffe et se masturbe le clitoris de deux doigts. Elle est folle, folle d’excitation et d’impudence. Elle jouit bientôt sans retenue et je la rejoins aussitôt. Le vieux est toujours là tandis que nous nous rhabillons. Peut-être nous a-t-il suivis depuis le moulin ? Peut-être était-il en train de pêcher un peu en amont ? — « Ca vous a plu ? » Fanny lui adresse un sourire déluré et cavale de l’avant, pas rassuré quand même. Je passe à mon tour devant lui, gêné et il me regarde d’un air triste. C’est un vieil homme aux cheveux blancs. — « C’est ici », me dit-il alors en tournant sa tête vers le pont, « c’est ici exactement qu’ils l’ont violée et qu’ils l’ont assassinée ». Je le regarde sans comprendre. — « Ma femme, sous ce pont… les allemands… c’était en 44 ». Il a une pierre plate et quelques fleurs dans les mains. Au loin, un oiseau piaille. 
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