Au service (pas st secret) de Madame (10) - Histoires de Sexe

Au service (pas st secret) de Madame (10)

... concitoyens. Adieu Madame la présidente et faites ce qu’il faut pour que cela change et dans le bon sens. — Mais ! — Il n’y a pas de mais ! Vous avez bafoué toutes les lois sur le bien-être de vos concitoyens et vous venez vous plaindre que tout va de travers. Adieu, mon bain refroidit. Les deux personnalités s’en retournent, dépité par les vérités crues et fondées de Madame. Je prie Paul et Roger de rejoindre Madame et de donner du plaisir à cette femme que j’admire plus que tout. Avec Châu, nous mettons de l’ordre dans le baisodrôme. La fête commence demain soir, il ne faudrait pas que la moindre erreur gâche la fête de Madame. De la salle de bain, des hurlements de bonheur sexuel nous enchantent, Châu et moi. Main dans la main, je l’emmène dans ma chambre et fais l’amour à Châu, la perle d’Asie. Après ce long bain emplit de plaisir délectable, Madame nous retrouve dans ma chambre. — Manon, je dois te parler. C’est assez important pour que nous soyons seules toutes les deux. Désolée Châu, mais il le faut. — Madame n’a pas à se justifier. — Merci ma douce perle. Manon, je t’ai vue, entendue, ordonnez, sanctionnez. Je veux que tu me remplace. Je veux faire de toi mon majordome. Celle qui dirige ma maison. Certes, vu ce que tu me demande, tu es et tu restes ma soumise. Il me faut une personne de confiance et j’ai totalement confiance en toi, une confiance aveugle. — Madame, c’est trop d’honneur que vous me faites. Je ne sais si je dois accepter. — Tu le dois, sans toi, je ...

... suis perdue. Vous êtes cinq à me servir, il faut une personne pour tout coordonner. Quand Châu est arrivé, c’est toi qui à décider de faire venir mes amies pour l’habiller. C’est encore toi qui à décider d’envoyer ces deux moins-que-rien dans le territoire. Ils partiront cette nuit, ces deux-là. Je ne veux plus les voir. J’ai besoin de toi ma chérie. J’ai grand besoin de toi pour me punir quand il le faut. Tu sais me punir à me faire mourir de plaisir. Si je pouvais, je mettrais ma fortune à tes pieds pour te servir à mon tour. Tu comprends ce que je veux dire ? — Que Madame est follement amoureuse de moi comme je le suis d’elle. — Exactement. Dès ce premier regard, je t’ai aimée plus que tout au monde. J’aimerais tant faire de toi ma compagne et t’épouser. — M’épouser ? — Oui Manon, me marier avec toi. Je sais que tu m’aime, quand tu me le dis, c’est comme si tu… Non rien. — Mais Madame pleure, il ne faut pas Colette. Je serai toujours celle qui t’aime. Mais j’aime être ta soumise, ton esclave. J’aime te servir, j’aime recevoir tout ce que ton corps me donne. — Comment m’as-tu appelée ? — Colette ma chérie. Oui, pour la toute première fois de ma servitude, je viens de rompre mon serment. — Ma douce, si tu savais ce que cela me fait plaisir. — Cependant, cela doit rester entre nous. Je tiens à rester votre esclave. Je tiens à vous subir jour et nuit s’il le faut. Je peux être ton égal quand nous serons seules, toutes les deux. Mais, je tiens à être cette esclave que Madame à ...