1. La gérante de la galerie d'art (18)


    Datte: 30/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... minutes auparavant : elle protesta, râla, essayer de s’échapper mais mettant ma main sur l’arrière de son cou je la maintins fermement contre moi, mes doigts serrant cruellement sa nuque. Jenna semblait habitée par une colère vengeresse, mais je ne savais pas si c’était se venger de ce qu’on lui avait fait subir ou si c’était par jalousie envers la vieille rombière que je venais d’enculer avec autant de volupté. Toujours est-il qu’elle n’en resta pas là, et se saisissant de ma ceinture qu’elle avait enlevée de mon pantalon, elle la plia en trois bien consciencieusement elle se mit à lui flageller ses grosses fesses avec la régularité d’un métronome. La ceinture sifflait, claquait et la sous-préfète essayait de se dégager avec de violentes ruades. Moi, pour la faire taire, je lui rentrai ma queue bien au fond de sa gueule et me mis à la lui baiser en maintenant sa tête avec force. Elle se mit à sucer mon chibre qui sortait tout juste de son cul, et je le lui enfonçais jusqu’au fond, la forçant à me faire une gorge profonde en émettant des gargouillis écœurants. D’un geste je stoppai Jenna qui ne semblait pas vouloir s’arrêter et donnait l’impression qu’elle allait lui décoller la peau du cul de son bras rageur, et je dus insister et lever à la voix, lui ordonnant de se mettre à genoux à côté de sa pauvre victime, et de me lécher les couilles. D’une main je repris mon polissage de vit, de l’autre je me mis à malmener les gros seins, tantôt de la rombière, tantôt de Jenna, ...
    ... meurtrissant les pointes érigées, pétrissant avec force les mamelles offertes. Finalement un long, laborieux et pénible orgasme monta et je déversai toute ma semence sur le visage barbouillé desalive et de maquillage de la quinqua défraîchie, et lui étalai avec la main comme pour lui faire un masque. Jenna prit mon chibre en bouche et finit de le nettoyer, et d’avaler tout ce qui en perlait encore, histoire de ne pas en perdre une goutte. Lesdeux femmes se relevèrent avec peine, et je pris congé de Madame la sous-préfète qui s’éloigna le visage maculé de crème, son gros et large fessier couleur pivoine et zébré de bandes sombres, et me salua très bas comme une femme du monde et avec un sourire de reconnaissance. Nous quittâmes nos hôtes, et je reconduisis Jenna chez elle. Elle me fit à nouveau remarquer qu’il n’y avait pas eu de photos ce soir-là. J’acquiesçai mais, ayant arrêté ma voiture au bas de chez elle, je me mis à lui rédiger un chèque. Elle fut gênée et voulut refuser, me disant qu’elle avait pris beaucoup de plaisir cette nuit et que ça ne serait pas juste. « - Je suis désolé, Jenna » lui rétorquai-je l’air grave, « mais d’une part vous avez besoin de cet argent... d’autre part » continuai-je après un silence, « j’y tiens... parce que ça vous permet de rester une pute : ma pute, ma soumise bourgeoise et salope, celle que je paie pour me donner son corps, pour que j’en fasse tout ce que je veux, y compris l’offrir à mes amis, jusqu’à l’avilir. » Elle hésita, me regarda ...