1. Mon voisin, M. C*** (3)


    Datte: 30/08/2018, Catégories: Gay Inceste / Tabou Partouze / Groupe

    A partir de ce jour, et pendant plusieurs semaines, M. C*** me baisa au moins une fois par jour, sauf le weekend, moment où j’étais coincé avec ma mère et où lui recevait la visite de ses deux fils. Comme il était au chômage, il avait beaucoup de temps pour lui en semaine et moi, je finissais souvent tôt, l’après-midi car j’étais en filière littéraire.Dans les premiers temps, la queue de mon voisin me faisait mal quand elle me ramonait sans préliminaire. Cependant, après une semaine environ, mon trou a commencé à s’habituer et je ne ressentais plus aucune douleur, juste du bonheur ! Quand j’étais à quatre pattes, j’adorais sentir les couilles de mon amant claquer contre mes cuisses. Je prenais mon pied grâce à ses mains puissantes, qui m’agrippaient tantôt par les hanches, tantôt par les cheveux. Parfois, M. C*** me passait un bras autour du coup et m’étranglait un peu pour faire monter mon plaisir. D’autres fois, il se contentait de me baiser la bouche et jutait abondamment sur ma langue ou sur mon visage.Les semaines passant, il me traitait de plus en plus comme sa pute. Quand je venais chez lui, il m’embrassait à pleine bouche puis me giflait en me demandant : « t’as été sage aujourd’hui, mon vide-couille ? » ou « t’es revenu voir ton mâle, p’tit pédé ? ». Parfois, il vidait sa salive dans ma bouche puis me disait : « t’inquiètes, tu vas avoir plus de jus, p’tite pute ! ». Surtout, quand il me limait, il lui arrivait de chanter des chansons paillardes, comme « Sur le pont ...
    ... de Saint-Martin », qui revenait souvent dans sa bouche...Au début, je me sentais décontenancé par cette attitude. J’éprouvais en effet de la tendresse pour lui et je recherchais sa chaleur mâle et paternelle. Je me suis néanmoins rapidement habitué à ce traitement et, le soir dans mon lit, il m’arriva bientôt de me branler en me repassant dans la tête les « tout doucement, tout doucement… » de mon voisin. J’étais devenu accro à son sperme et à son odeur, même si je continuais à regretter qu’il boive autant. Je crois même que je tombais amoureux...Un weekend, ma mère s’est absentée pour un séminaire avec son travail. Quand je l’ai su, j’ai tout de suite prévenu M. C*** dans l’espoir qu’il me permettrait de passer au moins une journée avec lui. A mon grand plaisir, c’est ce qu’il a fait, en m’invitant à venir chez lui le samedi. Mais j’ai été très surpris par le regard qu’il m’a alors jeté ainsi que par ses mots énigmatiques : « je te préparerai une petite surprise ».Le samedi, j’ai donc débarqué chez mon voisin vers 10h. Mais, lorsque j’ai frappé à sa porte, j’ai effectivement eu une surprise ! De fait, ce n’est pas lui qui est venu m’ouvrir mais l’un de ses fils, Alex. En le voyant, ma mine s’est décomposée et je me suis mis à bégayer. Je le connaissais un peu et c’était un gros débile. Il m’avait déjà traité plusieurs fois de tarlouzes et avait une réputation de cogneur à l’école. Et là, il était en caleçon et en t-shirt devant moi, la mine interrogatrice…Déstabilisé, je me ...
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