La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°884)
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ressentit ce que voulait dire "ressentir la brûlure" d'une baguette. Étrangement, ce coup lui avait donné des sensations mêlées, au niveau de tout son corps et au niveau de son intimité. Comme un désir qui lui venait, qui naissait en elle, au plus profond de sa féminité. Un deuxième coup et, cette fois, ses fesses laissent l'empreinte d'une marque, trait rouge sur la peau claire de ses deux globes fessiers. Son corps tressaille, ses yeux se mouillent, son cœur s'accélère, avant le troisième coup qui est plus cuisant que les deux autres. Mais elle comprend cependant qu’il n'avait frappée que modérément, pour lui rappeler qui était le Maître, et qui devait obéir. “Tu es ma soumise, tu dois être l'élève obéissante dont on veut parfaire l'éducation. “ Sir d’Evans lui expliqua cela, et ses yeux qui se baissaient marquant son acquiescement à la loi qui lui serait imposée désormais. Le Maître revint devant elle et Myna compris que ce dernier allait maintenant s'occuper de ses seins. Elle ne put faire autrement que les tendre, les donner, les offrir. Et c'est ainsi que les voulait, érigés de tension, tendus sous les paumes de ses mains qui les parcouraient, sous ses doigts qui en firent le tour, sous ses mains qui les soupesaient et les rapprochaient, sous ses doigts qui agrippaient ses deux mamelons et les pinçaient. Délicatement d'abord, puis avec plus de force, dans la tension, dans la traction, dans l'étirement. Avec un petit mouvement de torsion puis de relâchement, puis de ...
... tension encore et encore pour atteindre ce point où la peur d'avoir mal la faisait paniquer. Il le voyait dans ses yeux qui l’imploraient. Son but n’était pas de lui faire mal, mais de créer en elle la tension qui faisait naître les sensations, qui faisait monter en elle l'anxiété et le désir. Elle ressentait des vibrations dans sa poitrine et elles se propageaient jusque dans son bas-ventre, jusqu'au creux de son intimité, faisant sourdre un peu davantage ses sécrétions vaginales. Le Marquis lui intima l'ordre d'ouvrir ses jambes, d'écarter ses cuisses. Et il glissa ses doigts vers son bas-ventre, par-dessus ta vulve. Ses doigts l’ouvraient délicatement, pour dégager le sillon vulvaire. Ils remontaient vers son clitoris et l'enserrent, le titillant, l'effarouchant, le pressant, l'éveillant. Elle était chaude maintenant et les sensations étaient en elle, l'échauffant encore plus, faisant couler ses sécrétions que ses doigts recueillaient en se glissant vers l'entrée de ton vagin. “Un jour prochain, nous procéderons à ton dépucelage. Tu deviendras femme, ainsi ! Pour ton plaisir, et pour le nôtre“ Sir d’Evans la détacha et sonna. Il fit demander Viktor et avant que ce dernier n’arrive, il lui fit placer les bras derrière la nuque et les jambes écartées. “Voici quelques règles que je veux de voir suivre : Règle numéro 1. Tu ne t'appartiens plus, tu m'appartiens. Tu es à mon entière disposition, et j'use de chaque centimètre carré de ta peau pour mon plaisir. Ta bouche, ton sexe et ...