Le Net c'est bien - Histoires de Sexe

Le Net c'est bien

... Drika serait enchantée. N’est-ce pas, chérie ?— Mais oui, mon amour. Une fois dans la voiture le silence est pesant. Lise est manifestement mal à l’aise et moi je me sens coupable d’avoir pu regarder. Je décide de rompre cette chape avant que tout devienne difficile. — Tu sais chérie, je suis content de cette soirée. J’espère que cela s’est bien passé pour toi et que tu as trouvé ce que tu cherchais. Moi j’ai adoré, même si j’aurais aimé être avec toi.— Oui, c’était bien.— Juste bien ! Pourtant Christiaan avait l’air enchanté et il me semblait avoir entendu ta voix, en particulier vers la fin. Au fait, qu’est-ce que sa femme doit te montrer ?— Oh, rien. Et toi avec Drika, vous avez…— Non, rien. Justement je pensais… J’arrête la voiture sur un parking désert. Il est plus de minuit et la route est peu fréquentée. — Si nous faisions quelques pas, je propose. Il fait très doux et j’ai besoin de me détendre de toute la tension accumulée. Je descends et Lise me rejoint. Je la prends par la main et en quelques pas nous arrivons à la lisière d’une forêt. Il fait sombre et je juge le lieu plus propice aux confidences que les sièges d’une voiture. Je prends ma femme dans les bras et la serre fort contre moi. — Je t’aime ma chérie et je te remercie de cette soirée.— Moi aussi, je t’aime. Tu ne m’en veux pas de ce que… De ce que j’ai fait ou dit…— Mais c’est le plus beau des cadeaux que tu m’as fait. J’ai écouté tes cris et ta jouissance avec envie. Je crois que Christiaan est un très ...

... bon amant.— Oui.— Il t’a fait jouir.— Oui, plusieurs fois. Ces paroles sont murmurées à mes oreilles et c’est comme si la retenue s’estompait. Sans le regard de l’autre, les confidences sont plus faciles. — Tu l’as sucé ?— Un peu, mais il n’a pas aimé. Il a trouvé que je ne savais pas y faire.— Il a raison. Et ensuite ?— C’est lui qui m’a léchée.— Oh, je suis sûr qu’il est d’expérience. Tu as joui ?— Oui, c’était bon. Et elle ajoute, sans doute pour me ménager : — Presque aussi bon qu’avec toi.— Puis ?— Il m’a prise et j’ai encore joui.— Prise comment ?— Sur le dos, normal.— Il doit être très gros, vu sa taille, non ?— Assez, mais il m’avait bien lubrifiée.— Et lui, il a joui ?— Pas à ce moment-là.— Ah. Il est résistant pour ne pas céder. Au fait, il s’était protégé ?— Bien sûr, c’est même moi qui lui ai mis la capote.— Alors, comment il s’est fini ? Lise hésite un instant. Peut-être se rend-elle compte de notre conversation, inimaginable avant cette soirée et de cet échange de détails croustillants. Mais le barrage a cédé, impossible d’effacer ses confidences et de revenir en arrière. — Dans mes fesses.— Tu veux dire qu’il t’a sodomisée. Mais tu n’as pas refusé ? Tu n’as pas eu peur qu’avec sa grosse queue, il te déchire le cul ? Je fais exprès d’utiliser ce vocabulaire cru car je voudrais qu’elle se lâche un peu plus et que je retrouve la femme enculée que j’entends encore commenter son plaisir. — Il m’a bien préparée, avec de l’huile et… et…— Et quoi ?— Son pouce. Avec son ...