1. Découverte avec une amie de ma mère


    Datte: 31/08/2018, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, inithf,

    Il pleut et je suis resté à la maison pour réviser mon bac de Français… sans grande conviction ni motivation… Vers seize heures le carillon de la porte d’entrée m’arrache lentement à ma torpeur. Je descends les escaliers et ouvre la porte. Sur le seuil, Charlotte, une amie de mes parents, abritée sous un parapluie. J’ouvre la porte et, avant d’avoir eu le temps de l’inviter à entrer, elle se faufile dans le hall. Elle dénoue le foulard Hermès qui couvre sa tête et glisse ses mains dans ses cheveux pour y remettre de l’ordre. — Quel temps horrible… Je la débarrasse du parapluie qu’elle me tend. Elle amorce alors un léger demi-tour en me souriant et me présente ses épaules. J’ôte l’imperméable et l’accroche à la patère. Elle se retourne avec une fascinante élégance, toute faite de retenue lascive. Charlotte a quarante-huit ans, elle était en classe avec ma mère et depuis, elles ne se sont jamais quittées. Mariée avec un lointain cousin de la famille, elle a trouvé naturellement sa place au sein de la tribu. Depuis que nous nous sommes réinstallés dans la ville de L., ses visites sont devenues hebdomadaires, tant et si bien qu’elle a progressivement atteint le rang de «tante associée ». Ce qu’elle ignore c’est que depuis des mois, elle est devenue l’objet de mes rêves secrets. Chacune de ses visites est l’occasion de nourrir mes fantasmes. Un mètre soixante-cinq, fine, élégante, elle possède à mes yeux d’adolescent toutes les qualités pour susciter chez moi des émois intimes que ...
    ... j’entretiens soigneusement. Chaque semaine, le jeudi, vers dix-sept heures, elle vient prendre le thé à la maison. Je ne raterais pour rien ce rendez-vous hebdomadaire. Dès que le carillon sonne, je dévale les escaliers et ne laisse à personne le soin de l’accueillir. — Oui, un instant, je vous ouvre… Je l’aide à se débarrasser de son manteau ou de sa veste, en m’arrangeant pour effleurer une épaule ou glisser un regard discret dans l’échancrure de son chemisier. La semaine dernière, feignant une maladresse, j’ai même effleuré sa poitrine en prétextant de la débarrasser d’un paquet. Ce contact, très calculé et indécelable, a accompagné le soir même ma main d’adolescent. Ce jour-là, elle paraît rayonnante, quelques gouttes de pluie perlent sur son visage. Elle porte un ensemble gris. Une veste de tailleur un peu cintrée à la taille et une jupe très courte qui souligne le galbe de ses jambes habituellement gainées de soie grise. — Je suis exténuée, me lança-t-elle. J’ai été surprise par cette averse en sortant de chez B. de V. et j’ai pensé à votre maison comme refuge. Votre maman est là ? Elle est un peu essoufflée et ses yeux malicieux pétillent d’une forme de juvénilité que je ne lui connais pas. — Non, madame, je suis seul, maman est sortie et ne devrait rentrer que très tard. Elle doit rejoindre papa à la sortie de l’étude puis aller dîner chez les H.— Mais vos frères et sœurs ?— Vous savez, ils sont chez nos cousins pour les vacances. Comme je dois réviser mes examens de ...
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