La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1060)
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’Evans. A ras du cou, se trouvait le collier de chienne orné lui aussi d’une médaille frappée elle aussi, des Initiales du Maître. Du collier de chienne, pendait une laisse tressée… Je reconnais avoir fière allure. Tout en roulant, le Noble titillait mon téton gauche, le pressait, parfois le vrillait fortement et à chaque fois, mon ventre se creusait, déclenchant l’érection de mon clitoris, humidifiant encore plus mes lèvres vaginales et l’intérieur de mon antre trempée. D’un geste autoritaire, le Châtelain me fit écarter encore plus les jambes, et tandis que le Majordome s’échinait en n’en perdre aucune miette dans son rétroviseur, les doigts agiles du Maître commençaient directement à branler mon clitoris sur toute sa longueur... Je suis obligée d’avouer que le Noble a une façon très personnelle de branler un clitoris. Un toucher alternant douceur et force, tapotements successifs, suivis de masturbation dans le sens de la longueur entre deux doigts, faisant sortir le nez du clito de son capuchon clitoridien. Entre deux de Ses doigts, entourant le clitoris, Il place l’organe très sensible, au préalable bien « chauffé » par des tapotements, de façon à le faire se dresser. Ensuite, il le cale entre ses deux doigts, qui le presse, le font rouler entre eux, l’écrasant doucement, le relâche ensuite, le reprend entre les deux doigts, en un mouvement de bas en haut, comme le ferait une main avec un sexe masculin. Le résultat est fulgurant, car l’ensemble du corps du clitoris est ...
... excité… Il ne me fallut que peu de temps pour me transformer en torche vivante, tant ce que je vivais en cet instant me transportait sur des planètes inconnues. Alors que je commençais sérieusement à feuler, le Châtelain dit sur un ton ferme : - Laisse toi faire mais ne jouis surtout pas ! (Entre deux soupirs, je répondis) - Oui, Maître… Tout en continuant à me branler de plus en plus vigoureusement, il me fit me tourner vers lui, poser ma jambe gauche, allongée sur le siège arrière, à Ses côtés, me laissant ainsi face à lui, l’autre jambe pendante. Tandis que la luxueuse voiture roulait doucement dans Versailles, s’arrêtant aux feux rouges, Monsieur le Marquis, tout en continuant de travailler mon clito sur sa longueur, son pouce titillant le nez avec art, entrait dans ma chatte et sans préalable, trois doigts les remontant le plus haut que ma pose le lui permit. - Oh Maître, dis-je dans un souffle, ah ! Que c’est bon, Maître. Ses doigts fouillaient maintenant mon antre inondée de cyprine, tandis que sa bouche léchait mes tétons par une langue baladeuse et râpeuse, tout en les mordillant, les aspirant… Ma vue se brouillait.... ma respiration devenait saccadée... mais Il poursuivait son exploration, tandis que je l’aidais tant j’avais envie, en me renversant légèrement pour qu’Il puisse fouiller plus profondément et à son aise, prenant appui sur le large siège de mes mains posées de chaque côté de mon torse. Je renversais la tête en arrière, tant j’avais envie d’être prise, ...