Un hétéro aisé, charismatique et intimidant. (1)
Datte: 31/08/2018,
Catégories:
Gay
... commencer à lâcher quelques râles, il était assez expressif et poussait quelques gémissements. Romain: " T’aimes ça ma grosse chienne, hein?" Il me prit par les cheveux et m’enfonça sa tige encore plus profond pendant plusieurs secondes. Il faisait des va-et-vient dans ma gorge, et de la salive me coulait de partout. Sans m’en rendre compte, j’avais baissé mon pantalon et laissais à sa vue mes petites fesses. Romain: " Oh mais tu mouilles ma petite princesse!" Effectivement, une grosse trace d’humidité s’était formée sur mon caleçon, cela ne m’était jamais arrivé avant. Comme si mon corps me criait "Vas-y on t’a autolubrifié tu es près, fais-toi enfourner!" Romain, toujours affalé tandis que j’étais à quatre pattes par terre, le cul relevé, m’attrapa le trou et commença à me malaxer l’anus avec douceur. Sa façon de faire était à la fois violente et romantique. Et puis tout d’un coup, il en voulut plus. Il attrapa ma cuisse droite avec son bras pour me faire signe de monter sur lui. Et je m’exécutais une fois de plus. J’étais maintenant face à lui, à genou, mon trou juste au-dessus de son énorme bite. Les deux s’attirèrent comme un aimant. Il me transperça l’anus avec son engin luisant et la situation nous laissa tous les deux pousser un cri brisant le silence. Son engin était profondément ancré en moi. Et nous arrêtions un instant tout mouvement. Il était en moi. On ne bougeait plus. Nos regards se noyaient entre eux. Il approcha ses belles et grosses lèvres des miennes, et ...
... nous nous embrassions comme jamais. Il n’y avait pas particulièrement de langues et de bave, mais juste deux bouches qui se faisaient l’amour. Il entreprit alors les va-et-vient, je sentais et entendais le liquide visqueux de son pénis, entrer et sortir de moi. A chaque nouvel aller-retour, il m’enfonçait encore plus profondément son attribut. C’était si profond, les mouvements étaient si grands. Je devais voler à 20 cm au-dessus de lui tellement il me propulsait en l’air grâce à ses coups de bassin. L’atmosphère était électrique et moite. Je l’embrassais et mes mains entouraient ses joues. Lui tenait fermement mes fesses, il les agrippait et les écartait vers l’extérieur comme pour agrandir mon orifice. Ce moment dura plus de 10 minutes, j’avais parfois l’impression de faire un malaise, mon corps partait d’un côté et de l’autre dans la sensation était forte. Nous étions comme des bêtes. Il avait toujours son jean et ses chaussures et j’avais agrippé sa chemise qui était devenue toute froissée et qui n’était du coup plus rentrée dans le pantalon. Romain était en sueur, je le faisais beaucoup travailler, lui qui était toujours en position de force. Il mettait toute sa hargne dans mon cul. Je m’étais mis entièrement nu contrairement à lui. J’étais nu comme un ver en train de me faire exploser sur un garçon habillé comme un homme sur ces vêtements si soignés. Au bout de 15 minutes intenses, il m’attrapa le dos de tous ses bras et me colla bien fort à lui. Il entreprit alors des ...