1. Un stage pas comme les autres (3)


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... immédiatement sentir, surtout quand je me rends compte que depuis que nous sommes partis du bungalow elle ne porte pas de culotte. Je la vois revenir avec un grand sourire qui illumine son visage. Pendant le dessert je décide de jeter un coup d’œil ni vu ni connu sous la table pour vérifier par moi-même si elle porte quelque chose sous sa petite robe. Je fais donc semblant de faire tomber ma cuillère par terre et en la ramassant je regarde sous la table, et là, je suis à la limite de sursauter quand je vois Sophie qui écarte légèrement les jambes pour me laisser voir furtivement l’objet de mes désirs. Quand je refais surface elle me fait un petit clin d’œil, ce qui n’arrange en rien l’érection qui se dessine dans mon pantalon. Le repas se termine et nous nous dirigeons vers la sortie, Sophie reste agrippé à mon bras jusqu’à que l’on soit dans la voiture. — C’était vraiment une soirée incroyable, et tout ça c’est grâce à toi. — Vous exagérez un peu, j’étais accompagné d’une splendide femme pour cette soirée. — Charmeur va ! Et tu as aimé mon petit « effort vestimentaire » ? — Oui beaucoup, mais ce n’est pas ce que j’ai préféré. — Ah bon ? Et qu’est ce qui passe devant mon oubli de culotte ? — Et bien… j’ai vraiment aimé le fait qu’on sorte comme si on était un vrai couple. — C’est vrai ? C’était ce que voulais, qu’on paraisse le plus proche possible aux yeux des gens, pour qu’ils nous voient comme un vrai couple. — J’aimerais tellement que ce soit comme ça tout le temps, en ...
    ... plus ça semblait tellement naturel au restaurant, comme si nous étions comme ça depuis toujours. — Oui moi aussi j’aimerais, mais les choses sont compliquées. Pendant ce repas, j’avais l’impression de revivre, d’être à nouveau une femme désirable aux yeux d’un homme. — Pour moi vous êtes la plus belle femme que je connaisse, et je ne voudrais être avec personne d’autre en ce moment. — Tu es vraiment un amour. Sur ces mots elle m’embrasse passionnément, j’ai l’impression d’être dans un rêve. Elle passe la porte du bungalow en première et à peine ai-je le temps de refermer la porte que Sophie m’entraine par le bras dans la chambre. Elle me pousse sur le lit et en deux temps trois mouvements je me retrouve sans vêtements, Sophie se met à genou devant le lit et commence à sucer ma bite, je remarque qu’elle prend de plus en plus d’assurance avec cette pratique mais je n’ai pas le temps de vraiment savourer puisqu’après quelques minutes elle se met à califourchon sur moi et dirige ma bite vers l’entrée de son vagin. Elle s’empale sur mon membre avec une expression de plaisir et imprime un rythme soutenu. Bien que je savoure ses mouvements de vas et vient, je ne suis pas du genre à rester sans rien faire, j’agrippe donc à pleines mains les fesses de Sophie et maintenant c’est moi qui dicte le rythme de notre ébat. Sophie gémit de plus en plus, je sens qu’elle est sur le point de se laisser emporter par le plaisir sexuel, tout comme moi. — Vas-y Antoine, baise-moi ! Oh Oui ! Oui !!! — ...
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