1. Le bistrot - Chapitre 2


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Sexe Interracial,

    ... bien présents. Je cherche à tâtons le nœud de la corde qui maintient ces godes en moi.« Les salauds, ils ont fait le nœud dans mon dos ». Pensé-je.Je me mets à plat ventre et cherche le nœud. Je mets un temps infini pour le défaire et tout autant pour me détacher et enlever les godemichets toujours en fonction de mon corps.Je ressens aussi avec un certain effroi, tandis que je retire les godemichets en moi, une nouvelle excitation monter depuis mon ventre. Mais elle cesse dès que mon anus et mon vagin sont libérés de ces instruments.M’asseyant en tailleur, je regarde la taille énorme des godes ainsi que les sécrétions qui dégoulinent, mélange probable de sperme et de ma propre mouille. Celui de mon derrière semble le plus « sale » car il est maculé de taches brunâtres. Celui qui sort de mon vagin semble avoir été trempé dans un bol de sperme tellement il dégouline.Je ne sais pas ce qui me prend, devins-je folle, mais ma langue sort toute seule de ma bouche et je lèche avec un certain plaisir ce godemichet dégoulinant de sperme. Je me surprends à le nettoyer complètement et même à le remettre en moi pour y chercher encore le sperme stagnant dans mon vagin.Des applaudissements retentissent dans mon dos, me faisant me retourner pour voir avec effroi, Abdou, Salim, tous deux rhabillés, et le patron du café qui applaudissent le léchage du godemichet.- Je constate qu’Abdou et Salim ont fait du bon travail. S’exclame le patron du bistrot.Puis il continue :- Puisque tu es prête tu ...
    ... viendras ce soir, vers vingt heures, habillée d’une simple et courte robe. Rien en dessous ! Et tâche d’être à l’heure !Ensuite, tous les trois tournent les talons et quittent mon appartement.- A ce soir ! Crient en cœur Abdou et Salim.Je comprends à ce moment précis que je vais devenir leur chose, leur pute. Et au lieu d’être complètement dégoutée des hommes et du sexe, je pense déjà, avec envie, aux sexes qui vont me faire jouir ce soir.Je veux me lever mais mes jambes ne peuvent supporter le poids de mon corps. Je me traîne vers mon lit et avec le peu de force qu’il me reste, je me hisse dessus et m’endors de suite.Lorsque je regard mon réveille-matin, je vois 15h26 et je me sens au mieux de ma forme. Seule une petite douleur à la gorge et à mon derrière me reste comme séquelle de cette nuit de folie.Je me douche longuement, appréciant l’eau chaude sur mon corps, puis je m’habille de façon provocante et sortie faire quelques courses, car Abdou et Salim ont réellement vidé mon frigo.A peine dans la rue, le regard des hommes et parfois même leurs réflexions, me font mouiller comme pas possible.Je passe, sans le faire exprès, devant le bistrot de Monsieur Jean et les clients, en terrasse, ne manquent pas à leur habitude de me « vanner » avec leurs propositions sexuelles.Je fais mes courses et revient à mon appartement en évitant cette fois la rue du bistrot. Je place mes courses au frigo j’allume mon ordi.Je fais un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans ...
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