1. Mes amies d'enfance (5)


    Datte: 30/07/2017, Catégories: Lesbienne

    ... même a-t-elle déjà fantasmé sur nous qui sait ? D’après ce que Clay m’a raconté, sous ses airs très prudes et innocents, c’est une sacrée perverse. — Hmm, si tu savais comme c’est bon, poursuis-je. Surtout quand c’est fait avec amour. — Peut-être devrions-nous lui montrer ? s’interrompt Kamille. — Bonne idée. Nous nous levons toutes les deux et approchons d’Émilie. Elle nous regarde, déconcertée, comme un petit animal sans défense ; elle ne sait pas comme réagir. Nous nous plaçons chacune à ses côtés : — Laisse-nous prendre soin de toi, lui fais-je. — Mais... non ! Vous êtes folles ! proteste-t-elle sans conviction. — Laisse-nous t’aimer, enchérit ma partenaire de crime. Nous posons une main sur son corps et commençons à la caresser tendrement. Elle a un mouvement de recul, mais elle ne nous arrête pas. Je suis la plus ambitieuse des deux en lui pelotant rapidement un de ses seins. Ce qu’ils sont gros, j’en suis jalouse alors que je suis pourtant pas mal non plus dans mon genre. Kamille m’imite et tire sur le maillot pour en dégager le téton, elle le suce sans tarder. Il pointait déjà. Elle nie, mais elle doit être en train de mouiller comme une folle, la petite cochonne. Elle nous fixe la bouche ouverte. Elle est surprise, mais elle se laisse faire, prisonnière de ses désirs cachés. Je lui lèche son autre bout rose en faisant glisser une main vers son entrejambe. — Non ! Non ! fait-elle fébrilement. Mes doigts atteignent son fruit défendu. Trempée, comme je m’en doutais. ...
    ... Elle a un frisson électrique lorsque je touche son clitoris. Elle ferme les yeux, elle se détend. C’est bien, elle cesse de lutter. Je le titille puis je la doigte pour lui donner du plaisir. Nous avons gagné, elle est à nous, nous pouvons en faire ce que nous voulons. — Elena… Kamille… gémit-elle. — Cela te plait ? lui demande cette dernière. — Oui… — Tu veux qu’on continue ? — Oui… s’il vous plait… Nous nous occupons toutes les deux de notre petite sœur, plus par malice, mais par amour. Cela fait un moment que je rêvais de faire ça avec elle, je l’avoue. Elle était trop pure, j’avais peur de la souiller avec ma perversité. Maintenant que je sais que c’est déjà fait, je n’en ai plus aucune honte ; merci Clay. Kamille l’embrasse sur les lèves. Elle réagit étonnamment bien en lui rendant son baiser. C’est beau, Émilie aime ses sœurs comme nous l’aimons. Nous sommes vraiment toutes unies désormais. Elles se mettent la langue, je suis presque jalouse. La mienne se sent un peu esseulée. Je décide de la mettre à profit en m’insérant entre les jambes d’Émilie. Je me débarrasse du string de son maillot et démarre un cuni. Distraite, elle ne m’a pas vue venir. Elle a le réflexe de refermer les cuisses. C’était peut-être au début pour tenter de me chasser, mais bien vite, c’est pour me garder près d’elle. Je prends soin de son antre d’amour comme si c’était la chose la plus précieuse du monde. Elle goute bon, comme Kamille. Au-dessus de moi, cette dernière lui masse les seins tout en ...
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