1. Liaisons dangereuses (27)


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... voit Jenny assise sur moi, de dos et le cul bien cambré. Elle écarte bien les fesses de ses mains et je lui prends le cul, ma queue veinée dilatant bien son anus. — Tiens donc... Et ça t’a donné envie d’essayer de passer par là toi aussi ? — Oui, très ; — Tu l’as fait ? — Oui... — C’est bien ça, avec tes doigts ? — Non, avec un gode ; — Lequel ? — Le rose. Je me souviens vaguement avoir vu un gode rose, ce n’était pas le plus petit mais pas non plus le plus gros. — Et comment ça s’est passé ? — Au début j’ai eu un peu mal puis... Marion est hésitante. — Puis ? — Puis j’ai pensé à toi et au moment où on était ensemble, à tous les mots que tu m’as dits et tous les gestes que tu as faits pour m’aider à me détendre. Je mouillais énormément et j’ai fait comme toi, j’ai mis ma mouille sur mon anus, beaucoup, et j’y suis allé doucement, et à partir de là, ça s’est bien passé. Le récit de Marion et la petite voix douce qu’elle prend pour me le conter font battre mon cœur à fond de cale. Je bande aussi très fort et, toujours collé à elle, j’ai une furieuse envie de la prendre, là, maintenant, sur le banc où nous sommes assis côte à côte. — Et tu as continué longtemps ? — Assez pour que je jouisse la troisième fois. Marion relève alors son visage vers le mien, elle a la peau très rouge, et probablement qu’il en est de même pour moi tant une chaleur intense inonde mon crâne. Nous nous regardons longuement sans dire un mot. — J’ai envie de toi, lui dis-je sans la lâcher du regard ; — ...
    ... Moi aussi, répond-elle dans la foulée. Nouveau silence où nous continuons à nous fixer. — On se voit ce... — Oui !! lance-t-elle alors que je n’ai même pas fini ma phrase ; — Tu finis à quelle heure ? — Vers 17h30 je pense ; oxgovvbj — OK, je passe te chercher au salon ? — Si tu veux mais je suis en scooter moi ; — Tu le laisseras ici ; — Mais... Demain, je vais en avoir besoin pour aller travailler ; — Tu n’as qu’à dormir chez moi, je t’amènerai au salon demain matin, ça te va ? Un grand sourire s’étire sur son visage en même temps qu’elle hoche doucement la tête de haut en bas. Après quelques secondes, je ne résiste pas à l’envie de plonger mon visage vers elle pour coller mes lèvres contre les siennes, et c’est avec beaucoup de passion que nous nous embrassons pendant un long, très long moment, et quand ce baiser prend fin, ce n’est pas à cause du fait que nous en ayons marre mais plutôt à cause de l’heure qui défile à grande vitesse. Nous sommes tous deux haletants et sûrement aussi excités l’un que l’autre. — Va... Va falloir que j’y aille, me dit-elle en respirant rapidement ; — Oui, moi aussi, dis-je dans le même état qu’elle. Nous nous levons et prenons la direction du salon. La tension est palpable et je pense qu’elle comme moi nous faisons violence pour ne pas s’arrêter pour se remettre à s’embrasser. Arrivés devant le salon, nous nous faisons face. — Bon, à ce soir alors, me dit-elle le visage encore légèrement empourpré ; — Oui, à ce soir, je t’envoie un message ...