1. L'amour se multiplie


    Datte: 03/09/2018, Catégories: grp, couplus, cocus, boitenuit, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, Partouze / Groupe

    ... Tu vas être doux ? J’ai envie de douceur et de caresses. J’ai envie aussi que tu me prennes fort, bien à fond. J’ai envie de tout. J’ai envie de toi. Viens. Elle se jette dans mes bras, me déséquilibre et me fait tomber sur elle, sur le lit. Je la sens remuer sous moi pour se coller plus étroitement tout le long du corps. Elle me fait du bien. Je l’embrasse enfin, je lèche ses lèvres, sa langue, ses dents. Je tourne pour qu’elle se retrouve sur moi, je l’embrasse toujours. Je dézippe sa robe, la lui enlève et je fais glisser mes mains dans son dos jusqu’aux fesses que j’englobe dans mes paumes. Je l’embrasse toujours. Je remonte les mains sur ses flancs poisseux de sueur jusqu’à ses seins que j’empaume. Je l’embrasse toujours. Je suis doux, je ne force jamais, mais j’ai la force de la soulever pour la retourner et me retrouver sur elle. Je n’embrasse plus sa bouche, j’embrasse tout son corps souple, brûlant, trempé de sueur, et je passe du goût de sa bouche toute douceur à son corps salé de transpiration, puis au goût fort, entêtant de son sexe trempé de mouille. Elle tire ma chemise et pose ses mains sur mes épaules nues. — Oh oui, depuis le temps que je voulais toucher ta peau. Ouuh, c’est bon. Oui, lèche-moi encore. Je crois qu’elle a eu un petit orgasme. J’ai pris une goulée de cyprine dans la figure, puis dans la bouche quand je me suis replacé. C’est incroyablement excitant, un goût de fer et de sel, je ne sais pas comment décrire ça. Je suis en transe. — Arrête, ...
    ... c’est trop, j’en peux plus. Viens contre moi. Elle m’embrasse à pleine bouche. — Tu aimes ton goût ?— Oui, quand c’est dans ta bouche. Ou celle d’Olivier, bien sûr. On entend un cri, à côté. — Tu regrettes de te laisser aller ? Que ton mari prenne son pied sans toi ?— Sûrement pas ! Tu vas voir, déshabille-toi que je m’occupe de ton cas. Toi non plus, tu ne vas pas regretter ! Je retire mon pantalon, mon slip et mes chaussettes dans le même mouvement. J’ai l’impression que sa fièvre lubrique me gagne, maintenant, je veux la baiser jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Elle se jette sur mon sexe, l’embouche d’un trait et commence une fellation d’anthologie. Jamais une bouche ne m’a fait cet effet ! Rapidement, je suis sur le point de jouir. Elle le sent bien et ralentit ses mouvements. La succion devient léchage tendre du gland et sa bouche ne m’engloutit plus que par moments plus espacés. Tout d’un coup, elle repart à l’assaut en allant presque jusqu’à m’avaler, c’est divin. Je la préviens que je suis sur le point de jouir. Elle sourit avec ses yeux (sa bouche est pleine) et continue de plus belle. Je me vide dans sa bouche avec un gémissement extasié. Dès que mon membre se ramollit, elle le lâche et je la vois avaler deux ou trois fois. C’est la meilleure fellation que j’ai jamais eue. Je l’enlace et je l’embrasse. Je connais le goût de mon sperme, il ne me gêne pas. D’ailleurs comment faire la fine bouche quand votre partenaire fait l’effort de vous boire ? J’apprendrai par la suite ...
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