Moi, Mia (1)
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
Hétéro
... ostensiblement devant lui en posant le mot sur son bouquin de maths. Il est bientôt 20 heures, la bibliothèque ne va pas tarder à fermer et je suppose donc qu’il est venu uniquement dans le but de me voir. Une fois dehors, je passe le coin de la rue et j’attends qu’il sorte. Je veux le suivre pour savoir où il habite, sans me faire repérer. Il ne tarde pas à quitter la bibliothèque à son tour. Il semble me chercher du regard, mais je suis bien dissimulée dans la nuit hivernale. Je remarque alors que, contrairement à ce qu’il m’avait semblé la première fois, il est vraiment très séduisant, musclé juste comme il faut et je distingue un beau petit cul sous son jean Levi’s assez moulant. Je prie pour qu’il n’habite pas loin et que je puisse donc le suivre à pied. A mon grand soulagement, il habite effectivement dans un petit immeuble à quelques centaines de mètres. Je le vois taper le code : 8572. Une lumière s’allume au 3ème étage peu après son entrée. Au risque de passer pour une psychopathe, je rentre dans l’immeuble et découvre sur la boîte aux lettres qu’il s’appelle Gaumier. Robin Gaumier. Il est 2h du matin. Je suis chez moi, sous la couette, et ce qui s’est passé tout à l’heure m’empêche de dormir. Je pense à Robin. Mon corps n’est pas insensible à ses charmes, et il l’exprime clairement. Sous ma nuisette, je sens que mes tétons deviennent durs et que mon minou s’humidifie. Allongée sur le dos, je repousse la couette à mes pieds et écarte les jambes. Mes mains ...
... viennent titiller mes seins. Ils sont de taille moyenne et fermes, mais j’aime tout de même sentir qu’ils s’écrasent sur mon thorax sous leur propre poids. Je les malaxe, puis ma main droite descend d’elle-même vers mon intimité. Je caresse toute la zone de mon pubis, que j’aime à maintenir parfaitement glabre et douce. Ma chatte est déjà toute mouillée d’envie, j’imagine déjà la grosse bite de Robin en train de me pénétrer. J’ai toujours aimé me caresser, mais ce soir c’est meilleur que d’habitude. J’introduis un doigt dans ma fente trempée puis remonte me caresser le clitoris gorgé de sang. J’écarte encore un peu plus les jambes et avance mon bassin pour mieux satisfaire mon désir. Mes doigts ne me suffisent pas, mon corps réclame plus. Sans réfléchir, la chatte trempée et les tétons durs comme du verre, je me lève et attrape mon gros manteau d’hiver. Je l’enfile, je ne porte toujours que ma nuisette sans rien d’autre en dessous. Tout en me demandant si ce que je fais est une bonne idée, je parcours rapidement le trajet qui me sépare de chez mon futur amant. 8572, escaliers, Gaumier. Je frappe. Rien. J’insiste. J’entends du bruit à l’intérieur, et mon coeur se met à battre la chamade quand je réalise soudain ce que je suis en train de faire. Il ouvre. Il a l’air dans les vapes et ne porte qu’un boxer. Je remarque qu’il est effectivement très sexy, comme je l’avais imaginé. Sans lui demander son avis et sans me démonter, je rentre dans son appartement. Tout est éteint, mais je ...