1. MOI ET MA VOISINE BERNADETTE...


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Quelques semaines, alors que j’entretenais toujours une relation sexuelle épisodique avec Brigitte, j’étais sur le point de réaliser ce qu’elle prenait tant plaisir à me rabâcher, à chacune de nos séances et qui peu à peu germait dans ma tête. De baiser la fameuse Bernadette. En toute innocence, elle était venue frapper chez mes parents pour demander à ma mère si elle désirait des pommes de terre. J’avais entendu l’entretien à travers la porte de ma chambre. - Oui, pourquoi pas, je veux bien… - Alain est là ? Avait-elle dit. - Oui dans sa chambre. Je l’appelle. Quand ma mère ouvrit la porte j’étais en train de bouquiner un livre d’espionnage. De mon fauteuil, j’aperçus Bernadette au pas de la porte d’entrée. Une petite femme à l’allure modeste, rondelette. Elle me faisait penser à une pâtisserie qu’on nommait : une religieuse. Vous savez, une grosse boule en bas une plus petite en haut, voilà à quoi ressemblé la voisine du dessus. Elle était vêtue dans son éternelle blouse en nylon bleu. D’où elle se trouvait, elle m’envoyait des petits signes de sa main. Aux pieds comme toujours, elle portait ses mules en cuir marron à la semelle en bois avec des talons tellement haut qu’on se demandait comment elle parvenait à marcher. - Tu viens me donner un coup de main, me lança-t-elle d’un air réjoui. - Oui ! Oui ! Bien sûr. Le temps de ranger un peu et je suis à vous. Quand j’avais soulevé mon cul du fauteuil, j’avais la certitude que j’allais assouvir ma soif sexuelle, provoqué par ...
    ... quelques chapitres chauds de mon bouquin. Chargé de deux paniers j’avais donc suivis la voisine jusqu’à la cave. Les pensées malsaines avaient eu pour conséquence de me déclencher une belle érection. Bosselant mon jean. L’avait-elle remarqué ? Je ne sus le dire à cet instant. Elle me tendait la torche alors qu’elle s’affairait d’ouvrir le cadenas de son local. - Éclaire moi avec la torche veux-tu ? J’appuyais sur l’interrupteur et la lumière fut. Éclairant le réduit, alors qu‘elle s‘aventura à l‘intérieur. Sans perdre de temps elle chevaucha le bac pour se retrouver à l’intérieur parmi les pommes de terre. Je m’approchais à mon tour et portais le faisceau sur le fond du baquet. Elle s’affaira tout de suite à emplir les paniers. - Veux tu rabattre les patates derrière moi devant, s‘il te plaît… S’amusait-elle à me troubler, en faisant en sorte que je louche sur son cul penché devant mes yeux. Ou s’était encore mes pensées immorales qui me jouer des tours. Après m’avoir enivré sur ses fesses rondes, mon regard glissa sur ses jambes et tomba sur le talon cagneux sous le nylon couleur chair. Je ne pus m’empêcher de l’effleurer du bout des doigts. Prenant le risque de me faire réprimander. Mais rien ne se produisait. Alors j’appuyais ma caresse sans plus d’écho de sa part. Il m’en fallait pas plus pour m’encourager de reconduire ma câlinerie. Cajolant ses mollets sans plus de conséquence de sa personne. Comme si elle était insensible à ma caresse. J’aimais pourtant la sensation du ...
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