1. monsieur Priape (3)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... trou reste béant. — Ouuuuhhh ! Je reste un moment indolente, les hommes aussi paraissent calmés. Mais Guy patiente sa bite titanesque posée sur mes fesses. -Cette fois je vais t’enculer à fond… mais… ne me trompe pas, tu veux que je t’encule ? -Oui Guy, je veux que tu m’encule ! fgnfaayj -Plus fort, je crois que Paul n’a pas bien entendu…qu’est ce que tu veux que je te fasse ? -Guy, je veux que tu m’encules… répétais-je en haussant le ton. Il se positionne à nouveau derrière moi, ses pouces ouvrent encore mon anus maintenant plus accueillant. Je ne déteste pas cet envahissement anal imposant une fois l’endroit apprivoisé. Cette fois la pénétration se fait sa bite gonflée et malgré son alésage je souffre atrocement lors de l’intromission. Guy procède, tantôt par petits coups rapides de faible amplitude, tantôt par mouvements plus longs qui me font monter des ondes de plaisir le long des reins, parfois même il ressort complètement pour mieux me reprendre bien à fond, m’arrachant de longues plaintes. Il me pistonne sauvagement pendant qu’un orgasme fulgurant me fait voir trente six ...
    ... chandelles. Je le sens énorme entre mes reins… Il se raidit et rugit, des jets chauds se déversent dans mes boyaux. Il reste un moment allongé sur moi, chacun de nous trempé de sueur et essayant de reprendre son souffle. Il se retire lentement me laissant béante avec une sensation de vide que je n’ai jamais connue. Me retournant, il m’enlace, m’embrasse longuement. — C’était parfait, tu m’as vidé les couilles comme rarement. Messieurs, vos petites bourgeoises valent le déplacement, je n’ai jamais eu les bourses aussi vides ! -J’espère pouvoir recommencer… Personnes ne parait s’y opposer, donc je répondis un évasif : -Oui, peut être…nous verrons cela… Après un dernier verre, un ultime baiser, il nous quitte en nous remerciant chaleureusement et précisant qu’il est à notre disposition. Après son départ, nous nous retrouvons tous à la piscine pour se détendre. Jules demande à Paul. -Tu en connais beaucoup d’autres de cet acabit ? Bon Dieu ! Je n’aurais jamais cru voir ça, une vraie machine à baiser et avec un sacré outil ! Quel Priape ! Nous nous regardons tous et éclatons de rire. 
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