Retour en Canfre : les familles ennemies
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
fh,
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pénétratio,
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... n’aurait point été plus sidérée : — Toi, un garçon !— Qu’est-ce que cela a d’extraordinaire, réplique, piquée au vif, Douceline.— Ne te vexe pas, mais tu as toujours été si… sage que cela est un peu surprenant. De toutes les filles que je connais, tu es la dernière à qui j’aurais prêté ce genre de dessein. Qui est celui qui a ainsi transformé mon amie au point qu’elle ne juge plus le mariage indispensable pour se faire culbuter.— C’est Serge Taimongu. Et Douceline de narrer leur relation depuis leur rencontre jusqu’à ce jour et le pourquoi de la décision de se faire dépuceler et le projet de se faire surprendre. Ludivine n’en revient pas, mais ce qui la laisse la plus pantoise est quand même que Douceline veuille se faire pincer avec son amant en pleine action. Même après le départ de son amie, elle a bien du mal à admettre ce qu’elle vient d’entendre et se demande si elle n’a pas rêvé, ce qui ne l’empêche pas, malgré tout, de penser qu’il faudra faire un nouveau trousseau et peut-être même prévoir un agenda pour l’occupation des lieux, pour peu que l’avenante Douceline prenne goût aux jeux de l’amour. Une fois en possession des clefs, la jeune femme rentre au domicile familial. En attendant l’heure, elle piaffe. Après le repas, qu’elle trouve interminable, elle annonce qu’elle se rend à vêpres. Cela ne surprend point le clan, qui connaît son attrait pour la religion, certains sont même persuadés qu’il est probable qu’elle manifeste le désir de prendre le voile. Cette ...
... fois-ci, elle ne s’attarde point à l’église et s’esquive par une porte latérale. C’est le cœur battant, pas seulement à cause de sa marche précipitée, qu’elle se hâte vers le pavillon en serrant dans ses mains les clefs telles le Saint-Sacrement. Elle ne ralentit qu’en arrivant à proximité. Elle observe les alentours et ne voyant rien de singulier, ouvre la porte et se coule dans le bâtiment. Elle trouve un bougeoir, là où Ludivine le lui avait dit et l’allume. Elle se rend directement dans la chambre, ignorant les autres pièces et allume les chandeliers. À peine a-t-elle achevé, qu’elle entend toquer à l’huis. Elle se précipite ouvrir icelui après avoir regardé par le judas. C’est bien Serge. Il se glisse dans vestibule et embrasse sa dulcinée. Celle-ci l’entraîne vers la chambre, mais une fois dans la pièce Douceline perd son allant. Jusque-là elle était dans l’enfièvrement de ce qui n’était qu’une idée presque abstraite, maintenant au pied du mur, elle prend pleinement conscience de ce qu’elle est venue faire céans : se faire culbuter comme a dit son amie. Les baisers de Serge l’apaisent un peu, elle reste presque apathique, mais n’oppose aucune résistance aux initiatives de son amoureux. Il la dévêt délicatement, prenant son temps pour ne pas l’effaroucher, alternant le déshabillage avec des baisers enflammés. Lui-même quitte ses vêtements prestement et il l’entraîne sur le lit. Il l’embrasse tout en la caressant, la nuque, d’abord, puis ses mains descendent pour atteindre la ...