1. LE CAUCHEMAR DE CLAIRE – Tranches de vie 02


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Première fois

    LE CAUCHEMAR DE CLAIRE – Tranches de vie 02 Nous sommes un couple qui a dépassé la cinquantaine et approche, tout du moins pour moi, de la soixantaine, alors que Claire, mon épouse est de cinq ans ma cadette. Prénommé Charles, je suis un obsédé sexuel depuis mon enfance, et il m’a fallu un certain temps pour entraîner la femme de ma vie dans des déviances sexuelles et des relations multiples. Nous avons mis en commun ces tranches de vie que nous écrivons à quatre mains, même si le « je » est plus souvent présent que le « nous ». Pour comprendre le chapitre suivant et même celui d’avant, il est nécessaire de lire d’abord ce qui suit. Au mois de mai, l’année de mes dix-sept ans, je fréquentais déjà B., une autre jeune fille sans pouvoir la sauter. Chaque lundi, je me rendais au bord de la Marne du côté de La Varennes Sainte Hilaire, près de Saint-Maur pour canoter seul ; c’est à cette occasion que j’ai rencontré sur une berge une jeune fille blonde au teint très blanc. Cette adolescente était une très belle plante avec un derrière un peu gros (qui s’est affiné par la suite vers ses vingt ans). Elle portait une robe blanche à fleurs jaunes en coton très légère, laissant voir par son décolleté en carré des gros seins ronds qui ballottaient librement sans soutien. Elle était assise au bord de l’eau, jupe retroussée, ses jambes grandes écartées laissaient apercevoir des cuisses assez fortes et une culotte de coton blanc d’écolière. Très peu farouche, il ne m’a fallu que ...
    ... quelques minutes pour l’embrasser et peloter, aussi bien ses gros nichons que j’ai sortis du haut de sa robe, que sa moule humide que j’ai atteinte en glissant une main dans l’interstice de sa culotte. Après une masturbation énergique, elle a joui en silence, au contraire de mes autres conquêtes, mais si intensément avec des convulsions inquiétantes, qu’elle s’évanouit presque, son corps devenu rigide entre mes bras. Quelques secondes plus tard elle a refait surface et s’allongeant sur moi, elle m’a embrassé goulûment. C’était une sportive : tenniswoman accomplie, elle faisait aussi partie d’une équipe de volley-bal. Même si j’étais loin d’être une mauviette, elle m’a renversé avec une grande facilité et elle a pris le dessus sans que je puisse lui résister. Elle m’a dit s’appeler Cris. Le soir même de notre rencontre, vers 23 heures, elle est sortie par la fenêtre de sa chambre en entresol et m’a rejoint dans un bâtiment en construction face à la villa de sa famille. Nous avons fait l’amour debout, contre un monticule de sacs de ciment, n’ayant aucun endroit convenable pour nous allonger. Malgré tout ce que j’avais déjà fait avec des filles, c’était mon premier coït et je me suis montré malhabile, ému plus que de raison par cette première fois. Ma partenaire n’était pas plus habile que moi et j’ai compris plus tard que c’était aussi sa première fois, même si je la croyais plus expérimentée. Nous nous sommes rattrapés le lendemain et les jours suivants. Presque chaque jour durant ...
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