La femme parfaite (6)
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
Erotique,
... -Avec celui-ci... Je fouillai minutieusement chacune des poches de mon pantalon mais ne trouvai rien. J’avais perdu mon portefeuilles. Quel imbécile ! -Si c’est ton fric que tu cherches, il est là, me cria-t-elle en me lançant mon portefeuilles. Tu l’as laissé sur la table de chevet comme le pauvre con que tu es ! Alors maintenant dis moi la vérité, comment as-tu payé ce pain au.... Non, c’est pas vrai, t’as niqué Ariane aussi ! Et pour un pain au chocolat qui plus est ! T’es vraiment qu’un bel enfoiré ! -Sonia je t’en supplie, je ne savais pas ce que je faisais. -Mais je suppose que tu savais très bien quoi faire de ta queue quand elle était fourrée dans le cul de la boulangère et de ta pétasse ! Elle se tourna alors vers Ariane. Elle avait le regard baissée vers son tablier, n’attendant plus que la dispute soit terminée pour aller pleurer dans l’arrière-salle. -Alors ! Il t’a bien baisé j’espère ! Mais après tout, tu peux l’avoir autant que tu veux maintenant ! T’as besoin qu’il te remplisse la chatte, tu l’appelles et il accoure ce petit salopard ! iluittra Ne pouvant en supporter davantage, Ariane éclata en sanglot et quitta la pièce par la porte de secours. Sonia n’avait pas eu l’air affectée, mais je ne pouvais que la comprendre. J’avais fait n’importe quoi. -Quoi ?! Qu’est-ce que t’as à me regarder comme ça ! Elle se rapprocha alors dangereusement de moi. Elle marcha à grands pas rapides et ...
... bruyants. -Attends, tu pleures là ! Tu joues les Don Juan en faisant traîner ta bite dans tous les trous qui passent et tu te mets à pleurer ! Mais porte tes couilles et assume ce que tu m’as fait ! Si tu ne m’aimais pas, t’avais que me le dire, préciser que je n’étais qu’un plan cul d’un soir, mais non ! Toi tu voulais me baiser encore et encore en me donnant un faux semblant du paradis. Tu me dégoûtes tellement que je ne sais même pas si je pourrais encore te regarder au loin sans avoir envie de te réduire en miettes ! Après ces paroles, elle se dirigea vers la sortie située juste derrière moi. Elle me dépassa en me bousculant violemment. Je me rattrapai à la poitrine d’Élodie -Sonia ne sembla pas remarquer ce geste tout à fait involontaire- et, ne pouvant la quitter comme ça, je lui attrapai le bras afin de lui dire ce que j’avais sur le cœur. -Sonia, s’il te plaît. Au simple contact de ma main sur la sienne, elle se retourna brusquement et me donna la gifle la plus puissante de toute ma vie. Sa main claqua terriblement fort sur ma joue. Je me retrouvai alors repoussé violemment en arrière. Heurtant une table, je me fendis la cheville en me coinçant le pied sous une chaise en voulant me rattraper. Je m’écroulai alors sur le sol, pleurant comme un bébé. Les derniers mots que j’entendis sortir de sa bouche résonnèrent dans ma tête presque autant que sa baffe. -Nous deux, c’est terminé, à jamais !