De si jolies filles
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
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... moi, dis-je. ********************** Par la suite avec Karine, nous avons choisi de mener une vie libertine. Nous prenions plaisir à faire l’amour avec d’autres filles, voire d’autres couples lesbiens. Les possibilités qu’offre un trio de filles sont nombreuses, lorsque c’est un quatuor elles sont portées au carré ; quatre lesbiennes dans un lit n’ont pas le temps de s’ennuyer. Notre délice suprême, à Karine et à moi, était de trouver une femme voulant « ne pas mourir idiote ». Leur âge n’avait aucune importance. Ainsi avons-nous eu une jeune fille de dix-huit ans avec le corps d’une lolita (petite poitrine d’ado, chatte rasée, un corps gracile sans beaucoup de formes) qui devenue adulte ignorait si elle était hétéro, homo ou bi. Avant de nous rencontrer elle ne s’était pas encore donnée à un homme. Nous lui avons donc fait découvrir les plaisirs saphiques, qu’elle apprécia tant qu’elle se voyait lesbienne sans autre forme de procès. Alors, avec son accord, nous lui avons fait rencontrer, chez nous, un jeune homme beau, bien foutu et bon baiseur que j’avais eu pour amant. J’étais sûr qu’il était capable de faire vaciller les certitudes de notre protégée. Sa jouissance fut énorme et à l’issue de plusieurs joutes, elle ne savait plus où elle en était, avant que nous lui expliquions qu’elle était tout simplement bisexuelle. Aujourd’hui, elle est mariée, a un bébé, et partage avec une amie des moments lesbiens. Nous eûmes également une femme de cinquante ans, mariée, mère de ...
... trois enfants, s’interdisant de prendre un amant. Cette hétérosexuelle, comme nombre d’autres, n’avait jamais fantasmé sur une femme, ou si cela avait été le cas, jamais elle n’avait franchi le Rubicon. C’était un plaisir d’initier ces femmes mariées, de trouver au fond d’elles la jouissance sans qu’un phallus soit nécessaire. C’était toujours amusant de les voir hésiter à poser des baisers sur le corps d’une femme, de caresser des seins autres que leurs propres rondeurs, plonger sa tête dans la fourche des jambes et venir goûter à un jus d’un autre goût. Nous tenions à ce que ces femmes gardent de nos étreintes un merveilleux souvenir. Si l’une d’elles nous disait qu’elle voulait tout quitter, compagnon, mari, copain pour changer totalement de sexualité, nous la mettions en garde sur les difficultés qu’elle pouvait rencontrer. Certaines sautaient malgré tout le pas. Parfois j’acceptais les avances d’un garçon : je les choisissais beaux, très beaux et avec un minimum d’intelligence. Il n’y a rien de pire qu’un mec beau et con, l’un renforçant l’autre. Ceux qui croyaient pouvoir baiser avec un couple de lesbiennes déchantaient rapidement : — C’est avec moi que tu baises, pas avec ma copine, et encore moins avec toutes les deux. Pourtant, il m’est arrivé d’offrir à mon amante deux ou trois hommes de passage. Il n’y avait aucun vice dans cette démarche, simplement le désir de permettre à ma copine de connaître les plaisirs qu’on peut éprouver dans les bras d’un homme, à condition ...