1. De si jolies filles


    Datte: 05/09/2018, Catégories: ff, fff, ffh, fbi, jeunes, couplus, poilu(e)s, fépilée, campagne, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, échange, portrait,

    ... me perforer.— C’est dans la chambre des filles.— Aïe ! il vaut mieux ne pas les déranger. Mais me faire enculer à sec…— Ne t’inquiète pas, ma belle petite salope. Je vais te lubrifier avec ta propre mouille. Il planta un doigt dans mon con, le ressortit couvert de cyprine et vint fouiller mon fondement avec. Il mit un nouveau préservatif (le quatrième de la soirée), enfonça sa queue dans ma chatte sans ménagement comme il aurait fait dans un pot de crème, pour qu’elle soit couverte de mes sécrétions, puis il remonta mon bassin. Je sentis son gland venir toquer une ou deux fois sur ma pastille, puis il s’est enfoncé en moi. D’abord le gland, puis sa tige. Cela faisait mal, mais là encore je n’ai rien dit, je serrais les dents. Il entra au fond de moi, fit une pause, puis commença des va-et-vient très lents. La douleur devint lancinante, et petit à petit je ressentis autre chose, une sensation plus forte que la douleur qui bientôt se mua en jouissance. Sa bite, grosse, raide, longue, me perforait le cul et c’était merveilleux ; il me limait tandis que moi j’étais toute à ma félicité. Combien de temps est-il resté dans mon cul à se mouvoir ? Je suis incapable de le dire. Mais la jouissance devenant de plus en plus vive, j’ai commencé à me malaxer les seins. Voyant cela, il a joué avec mon clitoris en me disant : — Tu aimes ça, que je t’encule, hein petite salope ?— Oh, oui.— Dis : « J’aime lorsque tu m’encules ».— Tu aimes mon cul, lui répondis-je rebelle. Mais après une forte ...
    ... tape sur mes fesses je me ravisais et dis les paroles qu’il voulait entendre de ma bouche : « Oh ! oui, Claude, j’aime lorsque tu m’encules ! » Alors j’ai perdu pied et j’ai eu un orgasme, c’était le troisième de la soirée, mais bien plus puissant que les précédents. Il n’avait pas encore déchargé et continua à martyriser mon conduit et moi je jouissais de plus belle. Enfin, il sortit de mon puits et vint vider ses couilles sur mes nichons tout en me disant des cochonneries que je recevais comme des présents aussi précieux que sa semence. Chose nouvelle, car les insultes ou les insanités prononcées durant et autour du coït ne constituent pas pour moi une panacée, les trouvant souvent plus avilissantes que les actes eux-mêmes. Je me sentais salope, terriblement chienne à ce moment-là. Pourtant je ne regrettais rien. J’avais pris mon pied et c’était l’essentiel. Sur ce, Franck s’est endormi profondément. J’observai sa zigounette toute molle et couverte de foutre. Cela avait quelque chose de ridicule de voir la faiblesse de cet appendice après ce qu’il avait pu me donner cette nuit-là. Je me sentais toute poisseuse, le sexe et le cul en feu. Je suis sortie de la tente sans me vêtir. Le camping était désert. J’ai rejoint, nue, les sanitaires les plus proches et j’ai pris une douche salvatrice. Ce n’est qu’à cet instant que je pris conscience que j’étais totalement nue. Je me suis dit que j’avais peu de chance de rencontrer quelqu’un et si c’était le cas, le noctambule penserait à ...
«12...8910...15»