1. Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Week-end à Deauville. Moi : Nous nous sommes déjà rencontrés à deux reprises. A ta demande, j’ai réservé une chambre pour le week-end à l’hôtel Ibis de Deauville. D’après le plan il semble bien situé. Je fais confiance à ton choix. Vendredi en début d’après midi alors que je viens de faire les 350 km de route qui me séparent de toi, je te prends au bas de ton immeuble dans le quartier Montmartre. Après les effusions de nos retrouvailles, nous quittons assez facilement Paris car il est encore tôt dans l’après midi et, devisant gaiement nous faisons la route vers la côte normande. Nous ne sommes pas particulièrement pressés sur la route et nous arrivons vers 19 heures. Après avoir pris la clé magnétique de notre chambre nous montons nous installer. Nos bagages sont assez légers ce qui facilite notre installation mais un peu ralentie car la moindre occasion, je t’arrête pour t’enlacer et t’embrasser en laissant courir mes mains sur ton corps. Au travers de ton chemisier et de ton soutien gorge je sens que Tic et Tac, tes deux beaux seins, ne sont pas insensibles à mes caresses. Les tétons sont dardés. Je suis sur qu’ils font au moins un bon centimètre. Tu te frottes à moi comme une chatte en chaleur mais l’un comme l’autre, nous résistons à l’appel des sens. Tu remets un peu d’ordre dans ta coiffure (artistement coiffée ou décoiffée) et nous gagnons le restaurant où nous dînons légèrement. Malgré notre impatience à nous retrouver dans l’intimité de notre chambre, nous marchons ...
    ... un peu au hasard dans la ville que tu me fais découvrir. C’est vrai que l’avant saison en ce début de printemps est propice à la flânerie. Vers 23 heures nous nous retrouvons comme par miracle devant notre hôtel. Coquine ! Sans que je m’en doute, tu as guidé nos pas pour revenir au point de départ. Nous gagnons rapidement notre chambre, heureusement située au dernier étage et dont la grande baie vitrée donne sur un bassin du port. Sitôt la porte refermée, je te prends dans mes bras et je te porte sur le lit. Je commence à te déshabiller et dès que ta poitrine est nue, je vais honorer Tic et Tac de mes baisers. Nous achevons de nous dévêtir mutuellement en échangeant de nombreuses caresses. Mon sceptre est dressé, prêt à partir à l’assaut. DIANE : Mes tétons sont déjà durs, ta queue, elle, déjà dressée comme prête à une inquisition, nos langues se mêlent en un ballet sensuel. Mais j’ai mon idée. En effet, et je te l’avouerai plus tard, je me suis permis de rappeler l’hôtel après ta réservation, pour m’assurer d’un détail concernant la chambre réservée. Je veux un GRAND bain. Alors, sans dire mot, je me lève et t’entraîne doucement vers la salle de bain. En chemin je n’y résiste pas, je me retourne et, m’agenouillant face à toi, je lèche tendrement ce gland rouge de désir mais je ne m’y attarde pas. Je repars aussitôt vers le bain. J’entre dedans, tu restes un instant devant à me regarder alors que, me saisissant du tuyau de douche, je fais couler l’eau sur ma gorge, un filet se ...
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