Catherine tisse sa toile
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
ff,
fsoumise,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
... elle, mais l’ensemble se retrouve par terre. Les olives en chocolats roulent dans tous les sens et s’éparpillent sur le carrelage, une bonne partie sont aux pieds de Catherine. Par réflexe, je m’approche pour les ramasser. Après en avoir saisi quelques-unes, je relève la tête pour voir si Catherine me tend l’assiette ou autre chose pour les déposer. Mais c’est tout autre chose qui m’attend ! Elle est là, assise sur le bord du canapé, les jambes bien écartées, et penchée en avant, et je suis affreusement proche d’elle. Je vois parfaitement son shorty mouler et même pénétrer à l’intérieur de son sexe, tellement le tissu est tendu et fin. Je peux voir ses lèvres si ouvertes que j’ai l’impression qu’elles m’appellent et me disent : « Viens, on est là rien que pour toi ». Sa position penchée me fait paraître ses seins encore plus imposants, un des tétons dépasse du bustier, ce n’est pas possible qu’elle ne le sente pas, mais pourtant elle ne fait rien. Je suis proche de la rupture, mes bouts de seins sont si durs que j’ai peur qu’ils perforent mon top, je mouille tellement que je crois sentir ma liqueur couler le long de mes jambes. Soudain Catherine m’indique du doigt les bonbons entre ses jambes et me dit : — Ceux-là, je n’arrive pas à les attraper, tu peux me les passer ? Sans un mot, j’avance un peu plus à genoux, si bien que ma tête est presque entre ses jambes. * * * * Désormais Sabrina est réellement à mes pieds dans tous les sens du terme. D’abord physiquement ; et je ...
... vois aussi que moralement, son trouble est évident. Comme visiblement elle ne porte pas de soutien-gorge, je distingue parfaitement les pointes de ses seins qui dardent à travers son haut, le tissu est tendu comme une tente entre ses deux piquets. De plus elle est rouge comme une tomate trop mûre et tremble tant que j’ai presque un sentiment de culpabilité de l’avoir mise dans cet état. Mais je suis moi-même si proche de la rupture que ce sentiment disparaît très vite, remplacé par le désir d’avoir maintenant un contact plus charnel. Je m’avance un peu plus sur le coussin pour être assise à sa limite, jambes encore plus écartées, et offerte. Elle reste là, toujours à genoux, comme tétanisée. Je vois que si je ne fais rien, elle restera plantée comme une statue du Louvre. Et puis je craque ! Je n’en peux vraiment plus. Je l’attrape par la tête et l’attire vers mon entrejambe en lui disant : — Je sais tout, Sabrina, je sais que tu en meurs d’envie… Comme un bon chien obéissant, elle avance sans protester, son visage est maintenant contre ma culotte mais… rien ! Je ne vais quand même pas lui demander de tirer la langue. Non, ce n’est pas la peine, elle sort enfin de sa léthargie et commence à s’activer, doucement, timidement même, devrais-je dire. Sa langue vient comme si elle goûtait quelque chose de brûlant - c’est le cas, en quelque sorte, mais pas dans le sens culinaire du terme ! Et puis, peut-être parce que j’agite mon bassin pour mieux la sentir, elle se déchaîne enfin. Ses ...